Aller au contenu

Pimili

Habitués
  • Compteur de contenus

    327
  • Inscription

  • Dernière visite

À propos de Pimili

  • Date de naissance 1 janvier

Informations du profil

  • Genre
    Femme
  • Statut
    installé depuis + 1 an
  • Pays d'origine
    France
  • Pays de résidence
    Canada
  • Ville de résidence
    Montréal

Pour me contacter

  • Site web
    http://
  • ICQ
    0

Pimili's Achievements

  1. Pimili

    Ah! Les hommes!

    GÉNIAAAAAAAAAALLLLLLLLL !!!!!!!! Félicitations !!! Alors c'est prévu pour quand le départ ? Paméla
  2. Pimili

    Déjà 3 semaines...

    Oreste, Ca fait seulement 3 semaines que je suis là, c'est vrai, mais je suis déjà venue passer 3 mois ici l'année dernière. Le choc dont tu parles je l'ai donc vécu à ce moment-là et moi aussi je n'arrêtai pas de comparer avec la France... ce que je ne fais pas ici ! Mes "conseils" sont juste des jokes, et j'ai exagéré les choses volontairement. Pour la RAMQ, j'ai attendu 1h, ce qui n'est pas long...mais j'avais oublié d'emmener un livre, alors je me suis un peu ennuyée. Sinon côté efficacité c'est clair qu'ils sont très bon et j'ai comme toi apprécié leurs services. Pour la caissière je maintiens ce que je dis, la caissière ne me dis jamais au revoir. Enfin, certaines caissières dans certains magasins, mais j'ai déjà nuancé mes propos plus haut. Enfin pour le "Ce sera pas long" je voulais juste dire que c'est une expression très utilisée ici, ce qui me fait penser que ça tient plus de la formule rituelle. Paméla
  3. Quand les membres du MMF ont évoqué la question de la francisation des immigrants, ils ont dit que lorsque nous parlons anglais aux allophones parce qu'ils ne comprennent pas le français, nous leur envoyons un double message : 1) Un message d'exclusion, en leur faisant croire qu'on ne veut pas les inclure dans notre "société francophone", 2) Un message de renoncement, en leur faisant croire que le français n'est pas nécessaire pour vivre à Montréal Je pense que le message n°1, le message d'exclusion, est bien celui que nous envoyons aux allophones lorsque nous nous adressons à eux en anglais parce qu'ils ne parlent pas français ou parce qu'ils ne parlent pas bien français. Parfois certains d'entre nous n'ont pas la patience d'écouter un allophone tenter de s'exprimer tant bien que mal en français et nous passons à l'anglais, croyant lui venir en aide. Je pense au contraire que cette attitude le frustre, et que l'allophone (ou l'anglophone aussi, le cas est possible) se dit "Après tout, pourquoi faire des efforts ?". C'est vrai que ça peut être pénible parfois d'écouter quelqu'un qui prend du temps pour exprimer ces idées, mais si cette personne fait l'effort de s'exprimer en français, nous ne pouvons pas ne pas faire d'effort non plus de notre côté, et ensuite aller crier à l'anglicisation de Montréal. En même temps, si un allophone ne peut parler que anglais et si nous insistons pour lui parler en français, il peut aussi se sentir exclu, penser qu'on le fait exprès. Cet après-midi par exemple, je m'adresse à une dame (minorité visible) à un arrêt d'autobus et je lui demande en français si l'autobus va bien dans la direction où je souhaite aller. Elle me répond en anglais qu'elle ne comprend pas le français. Qu'est-ce que je dois faire ? Lui dire "Tant pis" et tenter ma chance ailleurs, en excluant cette dame ? Ou bien reposer ma question en l'anglais ? J'ai choisi la deuxième option? Il conviendrait peut-être également de remettre en question les cours de français offerts aux immigrants. Pourquoi le résultat n'est-il pas meilleur que ça ? D'après le guide "Apprendre le Québec", guide destiné aux personnes ayant obtenu le CSQ, les cours de français ne sont pas une obligation, ils sont basés sur le volontariat. Combien de nouveaux arrivants ne maîtrisant pas le français assistent à ces cours ? Après ces cours, que se passe-t-il ? Enfin, ce matin, en lisant le journal, j'ai trouvé une chronique qui disait que beaucoup d'immigrants francophones quittent le Québec car il ne trouve pas d'emploi à cause de leur "non-bilinguisme". Ils s'en vont dans d'autres provinces, et parfois ne reviennent pas. Donc, si on offrait des cours d'anglais aux immigrants francophones ou aux immigrants qui parlent un français suffisamment bon, on pourrait garder ces immigrants au Québec. Paméla Zogu, Mon copain est allophone et il a appris ce fameux français "international", donc oui ça existe, même si ça semble bizarre !!! Aussi, bien qu'il vive au Québec depuis plusieurs années, il n'a pas pris l'accent québécois, son français n'a pas d'accent. Paméla
  4. Pimili

    Déjà 3 semaines...

    Bonjour Cédric et bienvenue sur le forum ! En fait je ne connais pas d'autres forums que celui-ci, qui est excellent et sur lequel tu peux trouver TOUT ce que tu veux savoir. Si tu as des questions n'hésites pas à poster un nouveau message et je suis certaine que plein de gens ici te répondront. Pour tout le monde : j'ai trouvé un emploi !!!!!!!!!! Youpiiiiiiiiiii !!!!!!!! Paméla
  5. Merci d'avoir lancé ce sujet sur le MMF (non, non, il ne s'agit pas du Mouvement des Maudits Français mais bien du Mouvement Montréal Français !), ce qui me donne l'occasion de vous raconter ma visite au rassemblement organisé hier à l'UQAM. Samedi matin, alors que je petit-déjeune tranquillement en lisant journal Le Devoir, un article intitulé "Un nouveau groupe de défense du français voit le jour" attire mon attention. On y annonce la création du MMF, dont le but est de lutter contre la bilinguisation de Montréal et l'organisation d'un rassemblement pour le lendemain. Je me dis qu'en tant que nouvelle arrivée au Québec, il est temps de m'intéresser à la vie politique et citoyenne de mon nouveau pays, ce qui ne fera que faciliter mon intégration. Après quelques recherches sur Internet, je trouve facilement l'endroit exact et l'heure à laquelle le rassemblement aura lieu. Dimanche après-midi, je pars pour l'UQAM avec mon petit ami, intéressé lui aussi par la question linguistique au Québec, en tant qu'allophone parlant français et en tant qu'étudiant en science politique. Première constatation, l'âge des participants : il y a beaucoup de cheveux blancs dans le théâtre Alfred-Laliberté et les jeunes sont vraiment rares, de même que les minorités visibles. En attendant l'ouverture du théâtre où a lieu le rassemblement, nous prenons connaissance du manifeste du mouvement, qui souligne les points suivants : 1) Nous voulons briser le silence sur la question linguistique 2) Nous refusons que la mondialisation serve de prétexte à l'anglicisation 3) Nous dénonçons et combattons le bilinguisme institutionnel 4) Nous voulons assumer notre rôle crucial, comme citoyens et citoyennes de la région de Montréal, dans l'accueil et la francisation des nouveaux arrivants Puis nous entrons dans le théâtre, où nous sommes accueillis par la chanson "Québécois de souche" des Cowboys Fringants. Là, nous nous sentons un peu mal à l'aise et exclu, car nous ne sommes pas et nous ne serons jamais des "québécois de souche"? Après plusieurs minutes d'attente la réunion commence enfin, par quelques mots de Mario Beaulieu, président du comité de coordination du MMF, qui cède rapidement la place à Jean Dorion. Celui-ci nous explique par quelques exemples pourquoi l'impression que le français se porte bien à Montréal est une illusion. Il précise que le mouvement s'adresse à toute personne habitant Montréal, quelle que soit son origine, quelle que soit son orientation politique. Pas besoin d'être indépendantiste pour défendre le français à Montréal?sauf que dans la salle, dès que l'un des orateurs prononce le mot "indépendance", c'est l'excitation générale. Chacun des membres du MMF vient prendre la parole et expliquer sa motivation. L'écrivain Yves Beauchemin dénonce le bilinguisme voire l'unilinguisme anglais des étiquettes de certains produits, la députée Maria Mourani dénonce les difficultés des immigrants francophones à trouver du travail à cause du bilinguisme requis. Elle dit que des personnes qualifiées, ingénieurs, médecins ou autres, ne trouvent pas d'emploi car on leur demande de parler anglais. Avec mon copain on se regarde, et on se dit que c'est plutôt à cause des problèmes de reconnaissance des acquis. Un étudiant de McGill vient dénoncer le projet du Centre Universitaire de Santé McGill. Entre ces différents discours, on nous propose d'écouter des groupes de musique nous jouer leurs chansons. Nouvelle sensation de mal à l'aise, avec le premier groupe qui chante quelque chose disant "Tu m'étouffes avec ta langue, tu me tues avec ta langue?", etc? Même si Jean Dorion a dit que "La rancune et la ressentiment ne nous mèneront nulle part", on remarque quand même que les participants sont très réceptifs à cette chanson, et on sent justement ce "ressentiment" et cette "rancune". Alors, manque de cohérence entre le discours des chefs et les attentes des participants ? Si la cause du MMF est plus que louable, il n'en reste pas moins que la composition de ce groupe "québécois de souche, blanc, âgé de plus de 50 ans, clairement indépendantiste" me gêne. Je ne suis ni fédéraliste, ni indépendantiste, car je n'ai pas les connaissances nécessaires pour décider si je suis plus favorable à une cause qu'à l'autre et même si je veux défendre le français, je ne me sens pas à ma place dans le MMF. De plus, je trouve que le mouvement n'est pas assez "réfléchi". Par exemple, dans les documents que j'ai consultés sur le MMF, il n'a jamais été question de la place des anglophones dans le mouvement. Comment prévoit-on de les inclure ? Quelle place leur réserve-t-on ? On a beau être indépendantiste, on ne peut pas nier le fait qu'il y ait des Québécois anglophones qui ont leur place dans la société québécoise, et ce depuis longtemps. Le MMF dénonce aussi le bilinguisme obligatoire demandé par les entreprises. C'est vrai que (et j'y fais face actuellement) l'anglais est très demandé par les employeurs québécois. Mais cette réalité devient valable partout dans le monde, et en France aussi une personne qui parle anglais trouvera un emploi plus facilement, même si c'est moins pire qu'au Québec. Qu'on le veuille ou non, l'anglais est la langue utilisée dans le monde du travail pour communiquer entre pays étrangers. Si l'Allemagne veut faire des affaires avec la Chine, elle utilisera l'anglais comme langue de communication. Enfin, la francisation des nouveaux arrivants. Les membres du MMF déplorent que 56% des transferts linguistiques des allophones se fassent vers l'anglais. Par contre, on ne s'interroge pas sur la politique d'immigration du Québec. Logiquement, les gens qui immigrent au Québec sont censés parler le français, au moins un peu. Alors comment en arrive-t-on à ces 56% ? On ne s'interroge pas non plus sur le pourquoi de ces 56%, pourquoi les allophones rejettent la langue et donc par extension la culture québécoise ? Je sais que le mouvement est encore jeune et que les membres ont déjà pensé à toutes ces questions (du moins je l'espère !). Il faut maintenant suivre son évolution et voir ce qu'il va devenir. Paméla PS = Pour ceux qu'ils veulent faire du bénévolat, le MMF recrute ! Allez voir sur leur site Internet www.montrealfrancais.info
  6. Je confirme, et on est 2 Paméla
  7. Caro, Je ne connais rien sur le sujet mais je tenais quand même à t'encourager. Par contre tu ne devrais pas penser ça On n'est jamais responsable du suicide de quelqu'un... En tout cas tu es très courageuse et j'espère que le rêve de ta jolie p'tite famille ne sera pas gâché par ces vieux c*?&"@ Paméla
  8. Bonjour Albatros, Tu sais, la période pour obtenir le visa n'est pas la plus difficile. Il ne s'agit que de démarches administratives et de tracasseries "matérielles". Quand tu arrives ici, en plus de ces tracasseries matérielles (continuer les démarches administratives, trouver un appartement, des meubles, un emploi,...) tu dois faire face à des tracasseries "émotionnelles" (ta famille te manque, tu trouves que le Québec est plus différent que ce que tu imaginais,...). Moi je ne suis pas rationnelle, et si je ne me sentais pas bien ici, je partirais tout de suite. Sinon sar06 je pense que tu fais le bon choix en décidant de partir de nouveau : tu connais les erreurs à ne pas faire et tu es mieux préparé. Bonne chance cette fois ! Paméla
  9. En voilà une bonne nouvelle, c'est excellent ça !!! Félicitations et bonne chance pour la suite de ton aventure québécoise ! Paméla
  10. Bravo Petiboudange ! Ca se voit qu'elle fait de la com la p'tite Paméla
  11. J'ai une question : est-ce qu'il s'agit de la feuille que tu as reçu avec la feuille qui dit "Nous sommes prêts à émettre vos visas" ? Parce que là tu parles d'envoi alors je comprends pas bien... Peux-tu préciser ta question ? Paméla
  12. Salut ! Tu peux aller voir ici : http://www.immigration-quebec.gouv.qc.ca/f...ires/index.html A l'étape 6 si on te dit quoi faire si tu veux devenir RP alors que tu es déjà au Québec. Sinon pour l'avocat, laisse tomber, tu n'en auras pas besoin. Bon courage dans tes démarches ! Paméla
  13. Euh, t'es gentil mais pas trop quand même parce qu'il fait déjà super chaud à Montréal en ce moment Paméla
  14. Pimili

    Déjà 3 semaines...

    Merci à tous pour vos interventions ! Alors pour le "au-revoir" à la caissière, je vais nuancer mon propos : 1) ça dépend de la caissière (ou du caissier, car ici j'ai remarqué qu'il y a plus de caissiers qu'en France) 2) ça se passe à Montréal et je pense que dans des villes plus petites c'est différent Pour conclure avec ça, je dirais qu'ici, selon mon impression, le "bonjour" est plus important que le "au-revoir" et même l'échange entre "bonjour" et "au-revoir" est plus important. Les gens sont agréables à discuter et une fois que la conversation est finie elle est finie. On a bien discuté, c'était sympa, ça s'arrête là. J'aime bien... Pour la porte, c'est vrai qu'il ne faut pas hésiter à tendre le bras en avant, pour pouvoir la rattraper plus facilement Mais il y a des gens qui m'ont tenus la porte, d'autres non, mais moi je la tiens pour les autres, les gens apprécient ! @Lachtite et Fortsympa = Oui ça va bien, je commence à prendre mes repères et je me plais bien ici. Les premiers jours j'étais un peu triste mais comme j'arrive à parler souvent à ma famille ça me rassure. Mon p'tit frère prévoit de venir faire un stage à Montréal l'année prochaine, j'espère que ça pourra se faire. Enfin j'ai hâte de travailler car maintenant que le grand "rush" des formalités est passé je me sens un peu inactive et je commence déjà à m'ennuyer... Paméla
  15. Merci pour les nouveaux tarifs ! J'ai ouvert mon compte chez Desjardins ce matin et la madame n'avait pas la nouvelle brochure, mais maintenant grâce à toi c'est réglé ! Paméla
×
×
  • Créer...
Ouvrir un compte bancaire avant mon départ
© 2024 immigrer.com

Advertisement