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Face à la crise, quel avenir pour les immigrants?


Laurent

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Notre chroniqueur de Québec nous livre son dernier billet.

À lire en page d'accueil du site.

Bonne lecture !

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  • Habitués

Bonjour Rayan,

Je pense que tous les immigrants actuellement en processus d'immigration, se posent cette question ou se sont posés cette question.

Tous ce que vous dîtes est vrai (groupes d'extrême droite qui vont profiter de la situation, les manif au Royaume Uni contre les travailleurs immigrés, italiens, j'ai cru entendre dire, les vagues de violence en Afrique du Sud).

Vous avez seulement oublié Madagascar.

Certains immigrants réflichiront peut être davantage avant de quitter une situation confortable à cause de la crise. Mais, pensez aussi à ceux pour qui partir est une question de sécurité. Pas une question de job, ou je ne sais quoi.

Perdre ses économies ici au Québec, pour moi, c'est pareil, je n'ai pas d'enfants. Cela m'aura au moins permis de vivre "mes" rêves et de faire "mes" choix. Et puis, on parle ce crise à tout va, pendant que certains continuent à s'en mettre plein les poches.

Oui, il va y avoir des pertes d'emploi et cela où que nous soyons.

Certains immigrants qui ont des enfants, ont déjà bien réfléchi. Et continuent à le faire.

C'est génial de s'inquiéter, mais aidons-nous à faire que les décisions que nous prendrons soient les moins pires, et à faire que si la décision d'immigrer persiste, les gens aient moins de mal à s'intégrer.

Par avance, je suis désolée si j'ai été désagréable.

Diny

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Bonjour Rayan,

Je pense que tous les immigrants actuellement en processus d'immigration, se posent cette question ou se sont posés cette question.

Tous ce que vous dîtes est vrai (groupes d'extrême droite qui vont profiter de la situation, les manif au Royaume Uni contre les travailleurs immigrés, italiens, j'ai cru entendre dire, les vagues de violence en Afrique du Sud).

Vous avez seulement oublié Madagascar.

Certains immigrants réflichiront peut être davantage avant de quitter une situation confortable à cause de la crise. Mais, pensez aussi à ceux pour qui partir est une question de sécurité. Pas une question de job, ou je ne sais quoi.

Perdre ses économies ici au Québec, pour moi, c'est pareil, je n'ai pas d'enfants. Cela m'aura au moins permis de vivre "mes" rêves et de faire "mes" choix. Et puis, on parle ce crise à tout va, pendant que certains continuent à s'en mettre plein les poches.

Oui, il va y avoir des pertes d'emploi et cela où que nous soyons.

Certains immigrants qui ont des enfants, ont déjà bien réfléchi. Et continuent à le faire.

C'est génial de s'inquiéter, mais aidons-nous à faire que les décisions que nous prendrons soient les moins pires, et à faire que si la décision d'immigrer persiste, les gens aient moins de mal à s'intégrer.

Par avance, je suis désolée si j'ai été désagréable.

Diny

Bonjour Diny.

Tu n'as pas été désagréable du tout. J'ai immigré moi-même avec ma femme et nos enfants et nous l'avons fait non pas pour des raisons économiques. Pas du tout.

Dans mon papier, je ne faisais que m'interroger sur l'impact que peuvent avoir les difficultés actuelles de l'économie mondiale sur les immigrants. Ils sont déjà vulnérables dans un contexte ordinaire, ils le seraient davantage si la crise perdure ou s'aggrave.

Quant aux réponses à la crise, je n'en ai pas. Je pense tout de même que le monde est à la croisée des chemins et que les rapports économiques mondiaux ne peuvent plus continuer à fonctionner comme ils l'ont été jusque-là.

Avant le reste du monde consommait ce qui était produit en occident. Aujourd'hui, ca s'inverse. Mais alors si la tendance se maintient, comment les pays occidentaux feraient pour maintenir le niveau de vie de leur population ?

Si la tendance se maintient, les premiers à subir les conséquences, en occident, ce sont les catégories sociales vulnérables et parmi lesquelles peuvent se retrouver les immigrants.

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  • Habitués

c'est sur.........

la crise est une occasion de travailler sur d'autres concepts............ils verront plus facilement le jour car on a besoin de nouvelles recettes

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je vois que vous abordez la un sujet tres important, c vrai que nous tous on est inquiet propos de l'impact de la crise économique sur les immigrants, j'ai des amis au quebec qui ont perdu leur travail à cause de la crise, la vrai réalité c que les sociétes canadiennes ont procédé à la reduction de l'effectif pour faire fasse à la crise,

qu'il serait notre sort une fois la bas? comme vous le savez tous, le job, est un point trés important dans l'intégration,

mille et mille question qui tourne dans ma tête.

?????????????????

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  • Habitués

qu'il serait notre sort une fois la bas? comme vous le savez tous, le job, est un point trés important dans l'intégration,

mille et mille question qui tourne dans ma tête.

?????????????????

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  • Habitués

l immigration n 'est pas un projet muri du jour au lendemain , moi depuis 1999 je cherche a partir de ce pays , j ai 29 ans et mon bilan n est pas bon du tout .je dois chercher d autre horizon pour faire valoir mes capacites

j irai au Canada SI LA DECISION VIENT DE MOI

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  • Habitués

Oui pas facile de se décider.

Moi j'ai pris ma décision (finale) au début de la crise financière et je pars dans 2 semaines. S'il fallait me décider aujourd'hui, il est probable que j'annulerais mon départ ou aurais essayé de le décaler d'un an, histoire de voir comment les choses évoluent (refaire une nouvelle procédure d'immigration). Sans travail pas d'intégration possible.

En Europe, et surtout en France, on est pas encore trop touché mais les employeurs préfèrent attendre la dernière minute avant de licencier pour éviter les licenciements économiques coûteux, mais on risque d'être touché à retard, plus longtemps et la reprise sera sûrement plus lente qu'en Amérique du Nord.

Donc je pense pour les Français qui quittent en emploi pour immigrer au Québec, qu'il est judicieux de décaler si vous le pouvez. Pour moi trop tard, je suis très inquiet car je pars sans travail et me demande si je n'ai pas fait une grosse bêtise car je quitte une situation professionnelle plutôt stable.

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  • Habitués
Pour moi trop tard, je suis très inquiet car je pars sans travail et me demande si je n'ai pas fait une grosse bêtise car je quitte une situation professionnelle plutôt stable.

Vous avez le droit d'être inquiet, mais vous ne savez pas ce qui vous attend "vous". Essayez de positiver puisque vous allez devoir "sauter". J'ai cru entendu quelque part: "on est parfois obligé de sauter et de se faire pousser des ailes en descendant."

Diny

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Oui pas facile de se décider.

Moi j'ai pris ma décision (finale) au début de la crise financière et je pars dans 2 semaines. S'il fallait me décider aujourd'hui, il est probable que j'annulerais mon départ ou aurais essayé de le décaler d'un an, histoire de voir comment les choses évoluent (refaire une nouvelle procédure d'immigration). Sans travail pas d'intégration possible.

En Europe, et surtout en France, on est pas encore trop touché mais les employeurs préfèrent attendre la dernière minute avant de licencier pour éviter les licenciements économiques coûteux, mais on risque d'être touché à retard, plus longtemps et la reprise sera sûrement plus lente qu'en Amérique du Nord.

Donc je pense pour les Français qui quittent en emploi pour immigrer au Québec, qu'il est judicieux de décaler si vous le pouvez. Pour moi trop tard, je suis très inquiet car je pars sans travail et me demande si je n'ai pas fait une grosse bêtise car je quitte une situation professionnelle plutôt stable.

Bonsoir,

Je rebondis là dessus, l'immigration est une inconnue en soi... il est sur que quitter un nid douillet ou limplication dune famille, dans un conteste qui semble peu favorable nest pas lidéal, mais bon crise il y a, il y a eu et il y aura !

Personnellement, limmigration est à voir sur le long terme, ce nest pas un CDD. Sans oublier, que nous les immigrants économiques avons un luxe que les 'locaux' nont pas : la possibilité de rentré chez nous.

Il vaut mieux galérer au début quà la fin de toutes histoires. Non?

Merci et salutations à tous.

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