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  1. Merci et merci à toi pour ta participation hors du commun ! Au plaisir
  2. Bonjour tout le monde, Aujourd'hui il y a 25 ans, le 8 mars 1999, nous avons ouvert le site immigrer.com. Nous voulions informer et rejoindre des francophones et francophiles du monde entier afin de leur parler du Québec et du reste du Canada. Ce n'est qu'en juin 1999 que le forum de discussions a été ouvert mais comme vous pouvez imaginer il a été un franc succès. Merci à toutes et à tous d'avoir faire de ce site de l'informations, mais aussi des rencontres, des échanges et beaucoup d'émotions et surtout du succès pour plusieurs! Merci https://www.immigrer.com/immigrer-com-celebre-25-ans-de-succes-une-reference-incontournable-pour-les-nouveaux-arrivants/
  3. Elle attend aujourd’hui une réponse du gouvernement français qui doit faire l’analyse de son dossier Clara Loiseau Journal de Montréal Jeudi, 7 mars 2024 00:00 MISE À JOUR Jeudi, 7 mars 2024 00:00 Une Québécoise tente d’obtenir sa nationalité française en faisant valoir les droits de ses ancêtres colons qui avaient refusé de quitter la Nouvelle-France après la conquête des Britanniques. «Depuis que je suis petite, je baigne dans la culture française. Je me suis toujours sentie plus française que canadienne. Je n’ai pas de sentiment d’appartenance au Canada», affirme Suzanne Lachance, qui vit à Longueuil. L’idée d’obtenir la nationalité française n’est pas nouvelle pour cette femme de 72 ans. En fait, elle y réfléchit depuis les années 1980, lorsque François Lubrina, ex-représentant des Français de l’étranger, lance une pétition pour que la France reconnaisse la nationalité des anciens Français du Canada. Vingt mille personnes y apposent leurs signatures, dont Mme Lachance. En 2009, une autre Québécoise, Marie Mance Vallée, avait aussi déposé une même demande. Mais le dossier avait été rejeté sous prétexte que la France a cédé son territoire aux Britanniques avec le traité de Paris de 1763. Relecture Aujourd’hui, grâce à un historien français installé au Québec, Édouard Baraton, Suzanne Lachance voit de l’espoir dans le développement de sa démarche. Dans le cadre de sa thèse de doctorat portant notamment sur la question de la réintégration à la nationalité française, M. Baraton a analysé les textes parlant de ces questions à partir 1763, lorsque la France a cédé la Nouvelle-France aux Britanniques. suite et source : https://www.journaldemontreal.com/2024/12/31/une-quebecoise-veut-retrouver-sa-nationalite-francaise-grace-a-son-ancetre-arrive-au-quebec-en-1652
  4. Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada (IRCC) continue de donner des maux de tête à des travailleurs venus soutenir le réseau de la santé du Québec. Infirmière en santé mentale, Michèle Ezui se «cache pour pleurer» afin de ne pas trop ébranler ses enfants qui ont vu leur père, infirmier à l’urgence, être contraint de retourner en France afin de pouvoir continuer de payer les factures qui s’accumulent pour la famille au Canada. Après le cas d’un couple de psychiatres français qui a craint de devoir quitter le pays le mois dernier en raison de problèmes de renouvellement de permis avec IRCC, le réseau de la santé de l’Outaouais doit cette fois se priver des services de Mme Ezui et de son conjoint, Thomas Wecker. Tenté par ce que proposait Recrutement Santé Québec, M. Wecker est arrivé au Québec en septembre 2020, alors que la COVID-19 bouleversait encore tout le réseau. Jusqu’à tout récemment, il travaillait de nuit à l’urgence de l’Hôpital Mémorial de Wakefield. Sa conjointe et leurs deux enfants sont venus le rejoindre l’été suivant. Le permis de travail de Mme Ezui est depuis ce temps lié à celui de son conjoint, tout comme les «fiches de visiteur» des deux adolescents du couple. Le problème, c’est que le permis de travail de M. Wecker était «fermé». Il a demandé un nouveau permis qui doit se baser sur une «étude d’impact sur le marché du travail» - ce qu’on appelle l’EIMT dans le jargon de l’immigration. Mais cette EIMT est en attente depuis la mi-novembre, indique Mme Ezui. Suite et source : https://www.lesoleil.com/actualites/le-fil-des-coops/2024/03/05/je-me-cache-pour-pleurer-deux-travailleurs-de-la-sante-frustres-par-immigration-canada-3VJISZGPKRDH3IF5SQPSUJRQFQ/
  5. Ce n'est pas clair, vous êtes déjà sur place, avec quel visa ?
  6. Sara Champagne 23 février 2024 Société Mourad Bouraoui a vendu sa boucherie en Tunisie et a passé une année « en blanc », comme il dit, à faire les démarches requises et à attendre son permis de travail. Arrivé plein d’ambition en novembre dernier, il a été licencié par la boucherie industrielle de Drummondville qui l’avait recruté, faute de travail. Sa dernière journée de travail était mardi, et il est encore « un peu sous le choc ». Il n’en veut pas à ses anciens patrons, qui ont « perdu un marché de vente » et n’avaient donc plus assez de commandes, selon lui. C’est plutôt le permis fermé qu’il vilipende. Ses limites l’ont coincé, déplore-t-il, « enfermé » dans un seul emploi pour un seul employeur. « Je ne veux pas repartir, je ne veux pas retourner chez moi, j’ai des dettes à payer », explique ce père de deux jeunes enfants. « Le gouvernement sait ce qui arrive avec les permis fermés et il ferme les yeux », fulmine quant à lui Amin. Mécanicien au Maroc, il a lui aussi vendu tous ses biens avant de quitter son pays pour un emploi avec un contrat de trois ans dans un garage du quartier Saint-Jean-Baptiste, à Québec. Il a demandé qu’on taise son nom, craignant de s’exposer à des préjudices. « Je suis sous une pression infernale », dit-il, tant financière que familiale. « Juridiquement, tout est bien propre, on fait un contrat. Mais on n’a pas sensibilisé les gens aux risques qu’ils vont prendre », ajoute-t-il à propos des permis fermés. Venu avec sa femme et ses deux adolescentes au Québec, il avait pourtant bien planifié leur installation, en arrivant quelques semaines à l’avance pour trouver ses repères, « voir comment la société fonctionne ». Ils s’installent en octobre dans un appartement loué par le propriétaire du garage. Puis, dès le premier jour de son contrat, le 1er novembre 2023, il commence à travailler. « C’est le rush des pneus d’hiver, alors la pression était très élevée », relate-t-il. source et suite : https://www.ledevoir.com/societe/807771/immigration-congedies-permis-fermes-travailleurs-temporaires-retrouvent-impasse
  7. L'Agence du revenu du Canada met en garde contre des pratiques trompeuses visant les nouveaux arrivants, leur faisant croire à tort qu'ils peuvent obtenir des prestations et des crédits pour des périodes antérieures à leur arrivée au Canada. Bien que les nouveaux résidents puissent solliciter certaines aides financières, telles que le crédit pour la TPS/TVH, l'allocation canadienne pour les travailleurs et l'allocation canadienne pour enfants, ces dernières ne sont accessibles que pour la durée de leur présence au Canada. L'agence souligne que des individus mal intentionnés peuvent prétendre le contraire, une information erronée. Il est important de noter qu'aucune déclaration de revenus pour les années avant l'arrivée au Canada n'est nécessaire. Ces escrocs, qui peuvent agir en tant que représentants fiscaux, préparateurs de déclarations ou consultants, cherchent à profiter de la situation en prélevant une part du remboursement d'impôt pour leurs services. Les nouveaux arrivants doivent être vigilants : recevoir des fonds de manière indue nécessitera un remboursement, avec des pénalités et amendes potentielles. Pour toute suspicion de fraude fiscale, il est recommandé de contacter l'Agence du revenu du Canada en ligne ou de téléphoner au Centre national des indices au 1-866-809-6841. Source : TVA - Gouvernement du Canada
  8. Julie Sicot Publié à 5 h 21 HNE Écouter l'article Fonctionnalité à l'essai La synthèse vocale, basée sur l’intelligence artificielle, permet de générer un texte parlé à partir d’un texte écrit. Nouveau! La synthèse vocale, basée sur l’intelligence artificielle, permet de générer un texte parlé à partir d’un texte écrit. Il y a une semaine, la direction du Lycée international français des provinces de l'atlantique, LIFPA, officialisait le projet d’un établissement à Halifax dont l'ouverture est prévue en septembre. Le maire, Mike Savage soulignait que la présence importante des Libano-Canadiens dans la municipalité avait joué un rôle dans cette implantation. Mais quelle est la place de cette communauté en Nouvelle-Écosse et son influence dans la francophonie ? Le récit de la venue du Lycée international français des provinces de l’Atlantique est émaillé de rebondissements. Le premier choix des promoteurs de ce lycée français s’est d'abord porté sur Saint-Jean au Nouveau-Brunswick, mais après de multiples tergiversations, c’est finalement Halifax qui a été choisi. Consulté au début du projet, le consul honoraire du Liban à Halifax, Wadih M. Fares a fortement appuyé la candidature de la ville néo-écossaise. Lorsque l’association Don Bosco Mobilités Internationales qui porte le projet a annoncé son souhait d’installer l’établissement à Saint-Jean, il s’est même demandé : pourquoi la communauté libanaise n'ouvrirait-elle pas sa propre école privée ? À lire aussi : Le Lycée international français des provinces atlantiques choisit finalement Halifax Avec son propre festival, le cinéma libanais est à l’honneur à Halifax Un projet bien accueilli Finalement avec l’abandon au Nouveau-Brunswick, l’association Don Bosco et l’Ambassade de France ont de nouveau sollicité le consul. Avec ma position et pour l’intérêt de notre communauté, je les ai aidés à sécuriser l’endroit avec un propriétaire, un ami à moi, confie le consul honoraire dans son bureau situé dans les locaux de son entreprise de construction à Halifax. Je crois fermement qu'il s'agit d'un excellent ajout au système d'éducation que nous avons en Nouvelle-Écosse, explique le consul honoraire.
  9. Un lycée français va s'ouvrir à Halifax : https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2049631/lycee-francais-halifax-liban-francophonie
  10. L’image de l’Université Laval à Québec détournée pour de la fraude à l’international De fausses bourses d’études sont proposées, notamment sur Facebook Mercredi, 14 février 2024 19:30 MISE À JOUR Mercredi, 14 février 2024 19:30 Martin Lavoie Des fraudeurs se servent de la réputation de l’Université Laval pour offrir de fausses bourses à des étudiants étrangers qui rêvent de poursuivre leur scolarité au Québec. Une ingénieure en logistique de 26 ans du Cameroun a répondu le 19 janvier à une annonce prétendant offrir une bourse d’études de l’Université Laval. L’offre apparaissait sur WhatsApp, l’application de communication la plus répandue en Afrique. «Je suis à la recherche d’une bourse pour faire mon master [maîtrise] et mon doctorat», a raconté Corine Époupa, actuellement à l’emploi d’une société pétrolière dans son pays. La jeune femme reçoit rapidement une réponse à sa demande d’une personne disant être Sophie D’Amours, rectrice de l’Université Laval. En plus de reprendre le nom de la véritable rectrice, l’expéditeur utilise aussi son image, celle de l’institution et la bonne adresse. «J’ai vu sur internet que la rectrice s’appelait bien Sophie D’Amours. Le fait de savoir qu’il existe des organismes canadiens qui octroient des bourses d’études aux étudiants étrangers m’a mis en confiance sur la véracité de l’information», a précisé Mme Époupa. Méfiance Mais durant le processus, certains éléments la font douter. «La conception du formulaire à remplir et l’énorme disponibilité de Sophie D’Amours» l’interpelle. «Une connaissance au Canada est entrée en contact avec l’Université qui l’a informée qu’il n’y avait pas de programme de bourses d’études disponible pour le moment», a révélé la jeune femme. Le fraudeur lui dit que sa demande a été acceptée, mais qu’elle doit payer 108 000 francs CFA (240$) pour compléter l’inscription. Le montant peut paraître dérisoire ici, mais il est supérieur au salaire mensuel moyen de 83 000 CFA au Cameroun. Les étudiants d’ici à risque Une rapide recherche a permis au Journal de trouver une demi-douzaine de pages Facebook de la frauduleuse Commission Fédérale des Bourses Étrangères Canada (CFBE) reprenant l’image de l’Université Laval. suite et source : https://www.journaldemontreal.com/2024/02/14/limage-de-luniversite-laval-detournee-pour-de-la-fraude-a-linternational
  11. Le nombre de médecins augmente au Québec Radio-Canada Publié à 7 h 35 HNE Le Québec continue d'augmenter ses effectifs médicaux, puisque 280 médecins de plus se sont ajoutés au réseau de la santé depuis un an. selon les plus récentes données du Collège des médecins (CMQ) publiées jeudi matin. En date du 31 décembre 2023, le tableau du Collège des médecins (CMQ) publié jeudi matin, indique que le Québec comptait 26 001 médecins inscrits. Parmi les médecins actifs, 47 % sont des médecins de famille et 51,4 % sont des médecins spécialistes. Environ 1,5 % détiennent un permis délivré dans le cadre de l'entente Québec-France. Les données montrent également qu'une centaine de médecins de plus qu'en 2022 sont inactifs, c'est-à-dire qu'ils sont en congé de maladie, année sabbatique, congé parental, à la retraite ou encore qu'ils sont temporairement partis à l'extérieur du Québec pour faire une formation spécialisée. Au total, 11,9 % des médecins étaient inactifs en 2023. Pratiquement toutes les régions du Québec ont fait des gains d'effectifs, Montréal étant celle qui en a le plus avec 33 nouveaux médecins de famille et 63 médecins spécialistes. Québec arrive au deuxième rang avec 38 médecins de plus, suivi par les Laurentides avec l'ajout de 29 médecins. PUBLICITÉ L'Estrie compte, pour sa part, 27 médecins actifs de plus et le Centre du Québec, 15. Par ailleurs, 457 médecins exercent hors du Québec, un nombre qui est resté stable. Deux médecins de famille de moins au Centre-du-Québec Quatre régions ont perdu des médecins de famille en 2023. Lanaudière est celle qui a vu le plus de ces professionnels déserter avec huit médecins de famille en moins. Quatre médecins de famille ont quitté l'Abitibi-Témiscamingue, le Saguenay-Lac-Saint-Jean en a perdu trois et le Centre-du-Québec deux. De son côté, l'Estrie en a gagné 6. source et suite : https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2049564/medecins-famille-centre-du-quebec
  12. En effet, est-ce que les journalistes ont bien compris la terminologie de "résident permanent", car RP c'est pour les gens qui ont eu un CSQ et passer à travers tout le processus de l'immigration.
  13. L’UQAM offrira une voie rapide pour les enseignants dès septembre Alors que l'idée d'une formation courte pour qualifier de nouveaux professeurs faisait presque l'unanimité contre elle il y a un an, l'UQAM fait volte-face et offrira dès septembre une formation de 30 crédits menant au brevet d'enseignant au primaire. La formule, unique au Québec, est testée depuis cet été. Julie Marceau (Consulter le profil)Julie Marceau Fannie Bussières McNicoll (Consulter le profil)Fannie Bussières McNicoll Publié le 30 janvier à 4 h 00 HNE « Je suis contre l’idée de donner un brevet à rabais », déclarait sans détour le doyen de la Faculté d'éducation de l'UQAM Jean Bélanger au Journal de Québec en février 2023. Jean Bélanger réagissait alors aux sept priorités du ministre Bernard Drainville (dont celle de créer une voie rapide) à titre de président de l'association représentant les doyens des facultés d’éducation (ADÉREQ). Le doyen ne s'en cache pas : il était très perplexe et estimait que ça allait trop vite. La sortie du ministre Drainville a eu un effet d'électrochoc, reconnaît-il. Malgré ses réticences, celui qui cumule plus de 20 ans d'expérience au Département d'éducation de l'UQAM souhaitait lutter contre la pénurie d'enseignants, mais pas n'importe comment, précise-t-il. Jean Bélanger a interpellé tous les professeurs de la faculté en disant : il faut faire quelque chose. J'ai levé la main, et les choses se sont placées très rapidement, raconte Elaine Turgeon, directrice de l’Unité des programmes de 1er cycle en éducation préscolaire et en enseignement primaire (ÉPEP). Élaine, c'est vraiment l'idéatrice du projet, insiste Jean Bélanger. C'est ainsi que le diplôme d'études supérieures spécialisées (D.E.S.S.) de l'UQAM de 30 crédits, à temps partiel sur deux ans, est né. Ce sera le premier programme permettant rapidement à des professeurs de se qualifier par une formation offerte en présentiel, et non entièrement à distance, comme d’autres formules existantes. La TÉLUQ propose un programme de 30 crédits pour qualifier les enseignants non légalement qualifiés qui enseignent déjà au primaire, mais la formation est entièrement donnée à distance. Même chose pour la voie rapide de l'Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT) qui vise l'enseignement au secondaire. Les formations de l'UQAM, la TÉLUQ et l'UQAT ont toutefois un point commun : elles concernent les enseignants non légalement qualifiés, c'est-à-dire des professeurs déjà embauchés dans le réseau scolaire. Selon les plus récents chiffres compilés par le ministère de l’Éducation, plus de 7000 personnes non légalement qualifiées ont un contrat à temps plein ou à temps partiel actuellement. En incluant les suppléants, ce chiffre bondit à 30 000, selon la vérificatrice générale du Québec. Avec ces personnes-là, on peut aller beaucoup plus rapidement qu'avec des étudiants qui sortent du cégep, qui ont 19 ans et qui n'ont pas nécessairement d'expérience des classes du primaire et des élèves du primaire, explique Elaine Turgeon. suite et source : https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2043083/uqam-voie-rapide-formation-enseignants
  14. Un webinaire sur la recherche de logements le 20 février prochain. Ne pas oubliez de vous inscrire sur notre chaîne YouTube : https://www.youtube.com/@immigrercom
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