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y a t il des écoles française au Canada pour ma fille de 12 ans qui ne


flolu

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Si je décroche un travail au Canada, je viendrai avec ma fille qui est en 5ème en France. Moi, je parle Anglais, mais elle commence tout juste à l'apprendre .

Comment ça se passera pour elle ? Est ce que le programme scolaire canadien correspond au programme français pour les autres matières ?

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Comme les flamands en Belgique, la plupart des provinces anglaise pratiquent un politique historique de " containment " des groupes francophones. Leur but sous-jacent est l'anglicisation de tous. Il n'y a d'école française selon leur pratique que " là où le nombre le justifie ". Et ce sont eux qui décident si le nombre est suffisant. Ce qui peut prendre un temps indéfini. En attendant, tous les enfants vont à l'école anglaise de sorte que le nombre ne le justifiera jamais. Il y a des écoles séparées et catholiques à Ottawa, Toronto et aussi dans l'est et le nord Ontarien. Mais ne vous attendez pas à trouver des écoles françaises dans chaque quartier. L'école française est très rarement à une distance de marche de la maison. Vivre en Ontario, ce serait un peu comme aller vivre en Angleterrre. Mais avec un concept de " Nation Building " qui s'applique partout et quelques accommodements pour faciliter une assimilation rapide à la majorité anglophone.

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Tour dépend où tu veux aller au Canada c'est vague ;)

A Montréal et dans les grandes villes il y a des écoles françaises mais si tu vas vivre à la campagne... oublie ça ;)

Ne pas oublier aussi que ces écoles ne sont pas données ! Ca vaut la peine si tu viens 2-3 ans et qu'ensuite tu veux rentrer et que donc elle réintègre une classe en France sans avoir changé de programme, si c'est du très long terme et que tu es sûre de toi, inscris-là dans une école locale ;) Bien mieux pour s'intégrer et poursuivre ses études ensuite !

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  • Habitués

À Montréal à Marie de France ou à Stanislas ( deux écoles françaises avec les classes de France , manuels de France, vacances de France, diplômes ... Voir leurs sites web respectifs) cela coûte pour une 4eme un peu plus de 4000$/an : si vous avez assez peu d argent, il y a des bourses de l école et du consulat français. C est certes une école privée mais de loin ce n est pas la plus chère.

Le niveau est très bon et à la fin du cursus ou pendant, on peut rejoindre le système d éducation québécois sans problème (ils ont aussi quelques cours 'locaux' : histoire du Canada ou maths québécoises ). Pour l anglais il y a des classes par niveaux: régulier, avancé...

Pour le secondaire ou le collège comme on dit en France, je recommande de regarder comment est l école secondaire du quartier (s il y a des problèmes...): c est la que le jeune est le plus influençable. Si l on a des doutes, ça vaut le coup de le mettre dans une école privée. Cela lui facilitera une cote R de qualité.

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J'ai un peu de mal à comprendre le discours qui veut que les personnes sollicitant la résidence permanente, du moins pour le Québec, n'envisagent pas de scolariser leurs enfants dans les écoles québécoises ?!
Comment peut-on prétendre s'intégrer si l'on arrive avec son p'tit cartable de français ? Comment prétendre vouloir "être québécois" si l'on persiste à scolariser et éduquer ses enfants à la française ?
Je suis perplexe...

Nous avons déjà été expatriés, et la "passerelle" a toujours été l'intégration de notre fils auprès des enfants de son âge, dans un milieu qui était la représentation des valeurs et du mode de vie de l'endroit où l'on se trouvait... sinon, à quoi bon changer de pays ?

Que l'on m'explique !?

Pour notre part, même si cela s'avère être un peu complexe pour lui au départ, il aura tout notre soutien, mais Esteban (7 ans) sera scolarisé en école publique dans la ville de Mauricie où nous aurons la chance de nous installer... c'est primordial pour une bonne intégration, et pour tisser des amitiés sous le signe de l'échange et de l'AUTRE.

Cela n'implique que nous... bien entendu... :bye:

Modifié par ESDAKA
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J'ai un peu de mal à comprendre le discours qui veut que les personnes sollicitant la résidence permanente, du moins pour le Québec, n'envisagent pas de scolariser leurs enfants dans les écoles québécoises ?!

Comment peut-on prétendre s'intégrer si l'on arrive avec son p'tit cartable de français ? Comment prétendre vouloir "être québécois" si l'on persiste à scolariser et éduquer ses enfants à la française ?

Je suis perplexe...

Nous avons déjà été expatriés, et la "passerelle" a toujours été l'intégration de notre fils auprès des enfants de son âge, dans un milieu qui était la représentation des valeurs et du mode de vie de l'endroit où l'on se trouvait... sinon, à quoi bon changer de pays ?

Que l'on m'explique !?

Pour notre part, même si cela s'avère être un peu complexe pour lui au départ, il aura tout notre soutien, mais Esteban (7 ans) sera scolarisé en école publique dans la ville de Mauricie où nous aurons la chance de nous installer... c'est primordial pour une bonne intégration, et pour tisser des amitiés sous le signe de l'échange et de l'AUTRE.

Cela n'implique que nous... bien entendu... :bye:

.

Je suis tout à fait d accord avec ce discours, moi même étant parente d une petite fille quand nous avons emménager en Angleterre, elle a été émergée dans une ecole anglaise et ca fait 6 ans maintenant et c est une vraie pétite anglaise. Comme aurait elle pu être totalement intégrée dans ce pays si elle etait dans une ecole française avec d autres français. Après peut-être que c pour une histoire d éducation meme si en allant à Montréal ou une autre zone francophone, elle ne risque pas d avoir la barrière de la langue.

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" À Montréal et dans les grandes villes, il y a des écoles françaises mais si tu vas vivre à la campagne... oublie ça :wink: " Habitués

????????

Je cherche encore des petites campagnes au Québec où il n'y a pas d'école en français et je n'en ai pas trouvé. Il y a de l'enseignement en français partout au Québec.

Par contre, si vous cherchez des écoles où c'est le programme scolaire de France qui y est enseigné (avec quelques modifications mineures), il y a le lycée Paul Claudel à Ottawa. Vous devrez payer de votre poche des coûts considérables de scolarité et assumer le transport bi-journalier de votre enfant vers l'école.

J'ai plusieurs neveux qui ont étudié leur primaire et leur secondaire au lycée Claudel. Les parents de leur entourage ont même acheté une vanette à 9 places et payé un chauffeur pour les conduire soir et matin.

Moi, j'ai envoyé tous mes enfants à l'école publique du quartier pour le primaire et dans un collège privé au secondaire au Québec. Ils ont tous très bien réussi leurs études à tous les niveaux jusque dépassé la maîtrise universitaire,

Modifié par franz
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Liste des quelques écoles qui suivent le même programme scolaire qu'en France : ( le nombre de places est limité)

OTTAWA

TORONTO

CALGARY

MONTRÉAL

QUÉBEC

Modifié par franz
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Autre alternative, les écoles internationales :

De nombreuses écoles des réseaux public et privé d'éducation à travers le monde ont choisi d'adopter en tout ou en partie les programmes d'éducation de l'Organisation du baccalauréat international (IBO). Cette approche pédagogique a obtenu la faveur des Québécois et les écoles dites internationales se sont multipliées à partir des années 1980 dans plusieurs coins de la province.

Fondée en 1968, l'IBO collabore actuellement avec 1888 établissements scolaires répartis dans 124 pays, qui sont divisés entre quatre immenses régions, afin de développer et de proposer ses trois programmes d'éducation à près d'un demi-million d'élèves âgés de trois à 19 ans.

Au Québec, il y a aujourd'hui

au primaire, 26 écoles internationales francophones et 1 anglophone;

au secondaire, il y en a 94 qui sont francophones et 2 anglophones;

le collégial francophone compte 6 institutions à caractère international et il s'en trouve deux du côté anglophone.

L'ensemble de ces écoles s'est rassemblé ici au sein de la Société des établissements du baccalauréat international du Québec (SEBIQ).

Stratégie québécoise

Louis Bouchard est le directeur général de la SEBIQ et il situe le rôle des deux organismes: «La SEBIQ n'est pas un passage obligé pour quiconque, c'est-à-dire que les écoles ont le devoir et l'obligation d'être en relation directe avec l'Organisation du bac international parce que c'est elle qui organise, vérifie et supervise les visites d'établissements, etc. De notre côté, nous sommes une création locale qui vient des écoles elles-mêmes; dès le début, elles ont voulu se rassembler pour finalement partager le défi d'implanter un nouveau profil dans un régime pédagogique qui était essentiellement commun aux membres, en dépit des distinctions existant entre les réalités des différentes écoles.»

Il existe une vingtaine de regroupements semblables à la Société mais, pour des raisons linguistiques, le rôle de celle-ci s'est élargi: «L'anglais est de très, très loin la langue prépondérante, car il y a probablement plus de 95 % des établissements de l'Organisation qui fonctionnent dans cette langue. L'espagnol vient au deuxième rang. Quant à eux, les francophones constituent un faible pourcentage de cet ensemble, sauf du côté des écoles secondaires; pendant longtemps, c'est ici que, en chiffres absolus, se trouvait le plus grand nombre de celles qui donnaient le programme et ces dernières demeurent nombreuses.»

«On est comme des sous-contractants. Depuis l'an dernier, un membre de notre personnel est rémunéré pour 20 % de sa tâche par le bureau de New York dans le but d'effectuer un rapprochement et d'offrir aux francophones l'occasion de recevoir des réponses rapidement dans leur langue.»

Des programmes rigoureux

Le directeur général se penche sur les objectifs fondamentaux que poursuit le baccalauréat international: «L'Organisation veut former des adultes qui auront une tête bien faite et le coeur bien à sa place. Oui, ce sont des programmes qui sont rigoureux et exigeants, mais qui sont offerts à tout le monde. Ils visent à créer des gens qui sont éveillés, curieux, qui sont ouverts et intéressés à ce qui se passe autour d'eux, et qui considèrent la diversité comme un avantage plutôt qu'une menace. D'autre part, ce seront des personnes qui vont jeter un regard sur les autres et qui vont être empreintes de compassion; ce seront des citoyens qui vont chercher à jouer un rôle actif dans la société à l'intérieur de laquelle ils évoluent.»

Pour en arriver là, les programmes pédagogiques du primaire, du secondaire et du collégial sont les outils mis en place: «Ceux-ci dépassent toujours un peu la pédagogie et c'est pourquoi on retrouve toujours une composante "action" dans chacun d'eux. À l'intérieur de ceux-ci, il y a le CAS, qui est un acronyme pour créativité, action, service. En vertu de celui-ci l'étudiant du collégial doit consacrer 150 heures à des activités, qui sont idéalement réparties en trois blocs de plus ou moins 50 heures.»

Il explique les objectifs ainsi poursuivis: «L'idée était de faire en sorte que les jeunes formés à travers ce programme ne soient pas que des forts en thème qui ne font que s'embarquer dans les livres et dans leurs études, dont ils ne sortent pas; on voulait qu'ils s'engagent eux-mêmes au service de la société ou de la collectivité dans laquelle ils décideraient d'agir.»

Il en va de même au secondaire, quoique les choses diffèrent sensiblement au primaire: «C'est moindre parce qu'ils sont tout petits, mais il y a toujours une composante "action", qui se déroule habituellement dans le milieu propre de l'élève, à l'intérieur de l'école.»

Implantation d'un programme

Par la suite, Louis Bouchard laisse savoir que les écoles désireuses de joindre les rangs du bac doivent s'inscrire, dans la plupart des cas, dans un processus de longue haleine. Celles-ci doivent d'abord déposer une déclaration confirmant leur intention d'aller de l'avant, qui s'accompagne d'une somme de plus de 6000 $.

«C'est assez long parce que les écoles doivent d'abord réaliser une étude de faisabilité, qui peut durer de six mois à un an. Il y a un consensus à développer parce qu'il y a des habitudes à changer. Ensuite, il faut compter deux ans de préparation parce que l'établissement ne peut pas être reconnu par l'Organisation du bac tant qu'il n'y a pas un certain nombre de choses qui sont mises en place; il faut encore que des membres du personnel aient fréquenté les ateliers officiels que celle-ci anime. On doit compter au moins "une couple" d'années pour tout cela, en plus de la période réservée à l'étude de faisabilité et à l'obtention du consensus.»

Après ce temps, soit au moment où la première cohorte est rendue en troisième secondaire, se déroule une visite d'autorisation, qui est toutefois précédée par des rencontres de consultation s'inscrivant elles aussi dans le processus: «À ce moment-là, la Société désigne une équipe de trois personnes qui vont passer deux jours dans l'école. Elles vont voir tout ce qui grouille, grenouille et scribouille. Tout ce qui bouge et respire sera interviewé: élèves, parents, membres du conseil d'établissement et de la direction ainsi que professeurs de tous les départements. On veut voir où les gens sont rendus, qu'est-ce qu'ils en pensent, et évaluer au terme des questions où ils en sont rendus pour obtenir l'autorisation. À la suite de quoi un rapport exhaustif est envoyé au bureau de New York de l'Organisation, qui rend la décision.»

Collaborateur du Devoir

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  • Habitués

Si je décroche un travail au Canada, je viendrai avec ma fille qui est en 5ème en France. Moi, je parle Anglais, mais elle commence tout juste à l'apprendre .

Comment ça se passera pour elle ? Est ce que le programme scolaire canadien correspond au programme français pour les autres matières ?

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Moi ce que j'ai compris c'est qu'elle viendra AU QUÉBEC et qu'elle se demande si sa fille devra parler en anglais parce que le Qc est au Canada !!! Désolée mais beaucoup de personnes ne connaissent pas grand chose du Qc, surtout que c'est une province du Canada et qu'on y parle le français.

Au Qc la priorité de l'école est d'offrir un enseignement EN FRANÇAIS.

Merci à flolu de me dire si je suis dans le sujet ou si je n'ai rien compris !

Crdl

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  • Habitués

Je viens de faire un tour sur son profil et effectivement elle souhaite aller au Qc et que malheureusement flolu vous ne savez pas qu'au Qc la priorité pour l'éducation des enfants est le français.

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Liste des quelques écoles qui suivent le même programme scolaire qu'en France : ( le nombre de places est limité)

OTTAWA

TORONTO

CALGARY

MONTRÉAL

QUÉBEC

" À Montréal et dans les grandes villes, il y a des écoles françaises mais si tu vas vivre à la campagne... oublie ça :wink: " Habitués

????????

Je cherche encore des petites campagnes au Québec où il n'y a pas d'école en français et je n'en ai pas trouvé. Il y a de l'enseignement en français partout au Québec.

Ben oui évidemment je partais du principe qu'elle parlait d'école française dans le sens Marie de France ou Stan puisqu'elle parlait d'un programme similaire à celui de France ;)

Sinon oui merci après 7 ans au Québec je suis au courant que l'enseignement est en français partout :biggrin2:

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  • Habitués

Bonjour Flolu, :flowers:

Si j'en crois ton profil, apparemment ta préoccupation c'est d'immigrer au Québec, donc pour information, je te précise que c'est une province francophone !!! Il va peut-être falloir creuser un peu le sujet ! :whistlingb:

En 5ème ta fille sera donc au secondaire. Pour trouver celui auquel elle sera rattachée, cela dépendra de l'endroit où tu vivras. Infos ci-dessous :

http://www.fcsq.qc.ca/commissions-scolaires/recherche-par-ordre-alphabetique/

Et si tu souhaites vraiment qu'elle suive le cursus "international" :

http://www.marceldidier.com/ecoles_secondaires.html

Bonnes recherches ... :flowers:

Modifié par Zemida
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Il faut juste qu'elle soit consciente que ce n'est pas un cursus comme en France... enfin j'ai pas d'enfant scolarisés encore mais tout le monde dans mon entourage s'accord à dire que c'est assez différent en tout cas ;)

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Je me suis peut être mal exprimée... J'ai dis que je souhaite vivre au Canada (si au final, je vis au Québec (langue française) le problème ne se pose pas) ma fille NE PARLE PAS ANGLAIS, je me soucis de son intégration à elle. Je ne veux pas absolument une école française, mais n'y connaissant rien, j'imagine que si je l'inscris dans une école anglophone, elle va en baver.

Donc la vrai question c'est : vous, français qui avez immigré avec enfant de 12 ans qui NE PARLE PAS ANGLAIS comment avez vous fait pour la scolarisation de votre enfant ?

Je précise que je souhaite vivre au Canada sans plus de précision de province, que même si je souhaite y faire ma vie, je n'y suis pas encore et ne peux donc pas savoir si ça va bien se passer. Si je quitte la France, c'est que je souhaite un profond changement et m'intégrer au mieux.

Donc le programme français, les vacances scolaires françaises etc, je m'en balance. Ce que JE VEUX SAVOIR c'est comment m'y prendre pour la scolarité de ma fille qui ne parle pas anglais.

J'espère avoir été plus précise et avoir des réponses qui nous aiderons ma fille et moi.

merci à tous

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  • Habitués

Pourquoi parles tu de l inscrire dans une école anglophone? Tout le monde te dit dans le fil que un Québec c est le français ... Certes il y a des écoles anglo mais tu n y a pas droit en tant que RP venue d un pays francophone. De plus ta fille de 12 ans qui devrait être en 5 eme en France a normalement un niveau basique d anglais et ne sera pas (trop) perdue à cause de cela. Je peux aussi t assurer qu à cet âge elle parlera mieux que toi en anglais dans deux ans ( je sais ce que je dis j ai 3 enfants)

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  • Habitués

De plus ta fille de 12 ans qui devrait être en 5 eme en France a normalement un niveau basique d anglais

ce n'est pas parce que tu es en 5e que tu apprends l'anglais... tu apprends une langue seconde mais elle peut être autre que l'anglais, moi j'ai fait de l'allemand avant l'anglais par exemple, dans le sud ouest de la France ils seront certainement plus enclin à apprendre l'espagnol...

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  • Habitués

C est vrai que la première langue commencée en 6eme peut ne pas être l anglais mais vu que l on n en sait rien... (j habitais à 80 km de la frontière espagnole et ma première langue était l anglais... Comme quoi au sud...)

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Mais je parle chinois ou quoi ? je suis bien dans la section Canada non ? je pète un plomb là...

J'ai dis si je viens au CANADA, pas au QUEBEC !!!!!!!

si je viens au Québec, je sais qu'on parle le français, je ne suis pas abruti !!!!!

Ma question c'est si je viens au CANADA autre qu'au Québec !

Vous me rendez folle là !

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