Aller au contenu

Le White power au Québec


MicheldeMtl

Messages recommandés

  • Habitués

Leila Benhadjoudja: Au Québec, l'islamophobie est une «continuité» de la «white supremacy»

D'après Leila Benhadjoudja, Au «soi-disant "Québec"», «dans ce qui est appelé "Québec"», «nous sommes dans une terre colonisée» et l'islamophobie d'aujourd'hui est une «expression» et une «continuité» du colonialisme et de la «white supremacy» ? Leila un apport pour le soi-disant Québec

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués

Tu peux ne pas partager sa grille d'analyse, mais c'est une chercheure (sociologue) sérieuse...

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués

Tu peux ne pas partager sa grille d'analyse, mais c'est une chercheure (sociologue) sérieuse...

Sérieux...? Elle est chargée de cours et étudiante au doctorat en sociologie à l'UQAM.

Pas tellement plus "sérieuse" que moi qui ait été chargé de cours et étudiante à la maîtrise au même département de la même université.

Pas plus "sérieuse" que nos docteurs en médecine et/ou économie qui nous mènent en bateau...

Tant qu'à moi, l'auréole "chercheuse" n'est pas synonyme de "sérieux" et sa connaissance de la sociologie du Québec souffre de graves lacunes.

Amusant aussi de constater qu'elle s'est retenue de compléter le mot "anti...(sémitisme)" comme étant une forme de racisme. Je me demande bien pourquoi...? Peut-être n'a-t-elle pas voulu offenser quelques individus de son auditoire, visiblement des non-blancs qui ne peuvent pas souffrir de racisme alors qu'ils sont eux-mêmes accablés par la "white supremacy"...? Ça ne ferait pas très sérieux tout ça.... :smile:

Modifié par kobico
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués

Il y a quand même des incohérences dans cette théorie.

D'une part, "white supremacy" et "Québécois" ne vont pas bien ensemble, eux qui ont tant souffert du "speak white" et du sobriquet "nègres blancs" ...

D'autre part, il n'y a pas que les non-blancs à avoir connu des problèmes de marginalisation. Les Italiens, les Grecs, les Juifs, les Libanais, pour ne citer qu'eux, sont bien "blancs" et ils ne l'ont pas eu facile non plus ...

Bref le lien entre la couleur "white" et la religion "islam" me semble pas mal tiré par les cheveux. Des recherches bâclées, il y en a presque autant que des autos citrons.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués

Je ne comprends pas très bien ce qu'elle veut dire également ?

Il existe un livre d'Howard Zinn sur le sujet de la colonisation de l'amérique. C'est un livre intéressant car il se met du coté de ceux qu'on oublie dans l'histoire : les noirs, les femmes, les premières nations, les ouvriers, ... En l'écoutant je pense qu'elle se met de ce point de vue là. Expliquant que l'islamophobie au Canada est une continuité du racisme qui a vu le jour dès les premières colonies. Un point de vu très large en fait.

Une Histoire populaire des États-Unis - A people's history of the united states

Estimant que le point de vue traditionnellement adopté par les ouvrages d'histoire de États-Unis était assez limité, Zinn décida à la fin des années 1970 de rédiger lui-même un ouvrage sur ce thème afin de renouveler la perspective sur l'histoire de son pays. Son Histoire populaire des États-Unis constitue ainsi une « contre-histoire » prenant à rebours les grands mythes américains (guerre d'indépendance, conquête de l'Ouest, développement du capitalisme...). Il dépeint les luttes qui opposèrent les Indiens d'Amérique aux Européens, l'expansion des États-Unis, les révoltes des esclaves contre le système qui les oppressait, les oppositions entre syndicalistes – ou simples travailleurs – et capitalistes, les combats des femmes contre le patriarcat, le mouvement mené par les Noirs contre le racisme et pour les droits civiques, etc. S'appuyant sur des sources traditionnellement sous-utilisés, notamment les sources orales, Zinn cherche à redonner la parole, au côté de celle des grands hommes d'États, à ceux du peuple américain à être habituellement négligés dans ce type d'ouvrage (Indiens, minorités raciales, anarchistes, ouvriers...). Il « questionne ainsi les fondements de la nation américaine [et,] en écho aux premiers mots du préambule de la Constitution des États-Unis, We, the People (Nous, le Peuple), s'interroge : de quel peuple écrit-on l'histoire ? ».

Pierre Mélandri et Serge Ricard soulignent que le travail de Zinn est motivé par un souci d'« interprétation globale de l'histoire américaine, articulant politique étrangère et politique intérieure » et que d'un point de vue historiographique cet ouvrage s'inscrit dans le renouveau de l'histoire sociale débutant par la publication en 1963 de La formation de la classe ouvrière anglaise de l'historien britannique Edward Palmer Thompson dont l'influence intellectuelle a été déterminante sur le projet de Zinn. Toutefois précisent-ils : « Zinn est un héritier ambigu de cette nouvelle histoire sociale. L'attention qu'il a pour la politique des États fait de lui un historien atypique de cette nouvelle histoire sociale. Une histoire populaire est le fruit de cette histoire sociale, mais demeure une tentative d'articuler toutes les composantes entre elles dans un projet d'interprétation d'ensemble. Cette étude est donc différente de la nouvelle histoire sociale plutôt centrée sur la micro-histoire. »

Après la première publication de l’Histoire populaire, le livre fut une lecture souvent recommandée aux élèves et aux étudiants, entre autres pour ses qualités narratives et malgré des développements jugés parfois à la limite du manichéisme; il est aussi connu pour être un très bon exemple de pédagogie critique. Il constitue un succès de librairie assez rare pour un ouvrage d'histoire de niveau académique ; édité en 1980 aux États-Unis, il a fait l’objet de cinq rééditions en 22 ans et s'est écoulé à près de deux millions d'exemplaires en trente ans. La partie consacrée au XXe siècle existe en version audio lue par l'acteur Matt Damon, qui fait référence au livre dans le film Will Hunting. Au printemps 2003, pour marquer la vente de la millionième copie de l'ouvrage, un événement a été organisé au 92nd Street Y de New York, Howard Zinn et une dizaine de narrateurs faisant lecture de ce texte. Le tout fut retransmis en direct par Democracy Now!, présenté par Amy Goodman, et mis à disposition du public sur l'Internet.

En 2004, Zinn a publié Voices of A People's History of the United States avec Anthony Arnove. Ce livre, qui complète l'Histoire populaire (ils ont d'ailleurs des structures parallèles), s'arrête sur des témoignages à contre-courant. En 2008, il a publié sous le titre A People's History of American Empire des extraits de son livre sous forme de comic avec la collaboration du dessinateur Mike Konopacki et l'historien Paul Buhle. Zinn a également collaboré à la création d'une série documentaire produite par Alvin H. Perlmutter, elle aussi baptisée Une histoire populaire des États-Unis.

g7008_hi.jpg

le lire en anglais c'est mieux...

Modifié par BisounoursCanada
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués

Je ne comprends pas très bien ce qu'elle veut dire également ?

Il existe un livre d'Howard Zinn sur le sujet de la colonisation de l'amérique. C'est un livre intéressant car il se met du coté de ceux qu'on oublie dans l'histoire : les noirs, les femmes, les premières nations, les ouvriers, ... En l'écoutant je pense qu'elle se met de ce point de vue là. Expliquant que l'islamophobie au Canada est une continuité du racisme qui a vu le jour dès les premières colonies. Un point de vu très large en fait.

Une Histoire populaire des États-Unis - A people's history of the united states

Estimant que le point de vue traditionnellement adopté par les ouvrages d'histoire de États-Unis était assez limité, Zinn décida à la fin des années 1970 de rédiger lui-même un ouvrage sur ce thème afin de renouveler la perspective sur l'histoire de son pays. Son Histoire populaire des États-Unis constitue ainsi une « contre-histoire » prenant à rebours les grands mythes américains (guerre d'indépendance, conquête de l'Ouest, développement du capitalisme...). Il dépeint les luttes qui opposèrent les Indiens d'Amérique aux Européens, l'expansion des États-Unis, les révoltes des esclaves contre le système qui les oppressait, les oppositions entre syndicalistes – ou simples travailleurs – et capitalistes, les combats des femmes contre le patriarcat, le mouvement mené par les Noirs contre le racisme et pour les droits civiques, etc. S'appuyant sur des sources traditionnellement sous-utilisés, notamment les sources orales, Zinn cherche à redonner la parole, au côté de celle des grands hommes d'États, à ceux du peuple américain à être habituellement négligés dans ce type d'ouvrage (Indiens, minorités raciales, anarchistes, ouvriers...). Il « questionne ainsi les fondements de la nation américaine [et,] en écho aux premiers mots du préambule de la Constitution des États-Unis, We, the People (Nous, le Peuple), s'interroge : de quel peuple écrit-on l'histoire ? ».

Pierre Mélandri et Serge Ricard soulignent que le travail de Zinn est motivé par un souci d'« interprétation globale de l'histoire américaine, articulant politique étrangère et politique intérieure » et que d'un point de vue historiographique cet ouvrage s'inscrit dans le renouveau de l'histoire sociale débutant par la publication en 1963 de La formation de la classe ouvrière anglaise de l'historien britannique Edward Palmer Thompson dont l'influence intellectuelle a été déterminante sur le projet de Zinn. Toutefois précisent-ils : « Zinn est un héritier ambigu de cette nouvelle histoire sociale. L'attention qu'il a pour la politique des États fait de lui un historien atypique de cette nouvelle histoire sociale. Une histoire populaire est le fruit de cette histoire sociale, mais demeure une tentative d'articuler toutes les composantes entre elles dans un projet d'interprétation d'ensemble. Cette étude est donc différente de la nouvelle histoire sociale plutôt centrée sur la micro-histoire. »

Après la première publication de l’Histoire populaire, le livre fut une lecture souvent recommandée aux élèves et aux étudiants, entre autres pour ses qualités narratives et malgré des développements jugés parfois à la limite du manichéisme; il est aussi connu pour être un très bon exemple de pédagogie critique. Il constitue un succès de librairie assez rare pour un ouvrage d'histoire de niveau académique ; édité en 1980 aux États-Unis, il a fait l’objet de cinq rééditions en 22 ans et s'est écoulé à près de deux millions d'exemplaires en trente ans. La partie consacrée au XXe siècle existe en version audio lue par l'acteur Matt Damon, qui fait référence au livre dans le film Will Hunting. Au printemps 2003, pour marquer la vente de la millionième copie de l'ouvrage, un événement a été organisé au 92nd Street Y de New York, Howard Zinn et une dizaine de narrateurs faisant lecture de ce texte. Le tout fut retransmis en direct par Democracy Now!, présenté par Amy Goodman, et mis à disposition du public sur l'Internet.

En 2004, Zinn a publié Voices of A People's History of the United States avec Anthony Arnove. Ce livre, qui complète l'Histoire populaire (ils ont d'ailleurs des structures parallèles), s'arrête sur des témoignages à contre-courant. En 2008, il a publié sous le titre A People's History of American Empire des extraits de son livre sous forme de comic avec la collaboration du dessinateur Mike Konopacki et l'historien Paul Buhle. Zinn a également collaboré à la création d'une série documentaire produite par Alvin H. Perlmutter, elle aussi baptisée Une histoire populaire des États-Unis.

g7008_hi.jpg

le lire en anglais c'est mieux...

Quelle relation entre ce livre et ce sujet sur le Québec?
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués

Pour elle nous sommes de méchants colonisateurs. D'où son usage de guillemets pour parler du "Québec", signifiant par là que nous sommes les descendants de Français colonisateurs qui se sont appropriés sans droit la terre des autochtones. Le Québec, comme nation, n'a donc aucune légitimité à ses yeux. En fait, pour elle les peuples "blancs" portent en eux le racisme, la haine, l'injustice, la violence, la domination de l'autre.... Le colonialisme ne peut être que l'uvre de l'homme blanc occidentale, aucun autre peuple, groupe humain n'a pu s'adonner a l'invasion de territoire et la l'esclavage, surtout pas les ara bos-musulman.

Modifié par MicheldeMtl
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués

N'importe quoi, et puis je me demande pourquoi faire la promotion de telles conneries en fouillant dans la poubelle du Net.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués

N'importe quoi, et puis je me demande pourquoi faire la promotion de telles conneries en fouillant dans la poubelle du Net.

C'est l'UQAM qui est devenue une poubelle.

https://criec.uqam.ca/leila-benhadjoudja.html

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués

Pour elle nous sommes de méchants colonisateurs. D'où son usage de guillemets pour parler du "Québec", signifiant par là que nous sommes les descendants de Français colonisateurs qui se sont appropriés sans droit la terre des autochtones. Le Québec, comme nation, n'a donc aucune légitimité à ses yeux. En fait, pour elle les peuples "blancs" portent en eux le racisme, la haine, l'injustice, la violence, la domination de l'autre.... Le colonialisme ne peut être que l'uvre de l'homme blanc occidentale, aucun autre peuple, groupe humain n'a pu s'adonner a l'invasion de territoire et la l'esclavage, surtout pas les ara bos-musulman.

Elle ne sait sans doute pas que 75% de québécois ont du sang amérindien.

C'est un exercice qui relève davantage de la prestidigitation que de la pensée que de réduire et cataloguer les gens sur la base de leurs attributs physiques.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués

Pour elle nous sommes de méchants colonisateurs. D'où son usage de guillemets pour parler du "Québec", signifiant par là que nous sommes les descendants de Français colonisateurs qui se sont appropriés sans droit la terre des autochtones. Le Québec, comme nation, n'a donc aucune légitimité à ses yeux. En fait, pour elle les peuples "blancs" portent en eux le racisme, la haine, l'injustice, la violence, la domination de l'autre.... Le colonialisme ne peut être que l'uvre de l'homme blanc occidentale, aucun autre peuple, groupe humain n'a pu s'adonner a l'invasion de territoire et la l'esclavage, surtout pas les ara bos-musulman.

Et toi, serais-tu allé chercher cette vidéo et la poster ici si elle s'appelait Bouchard?

En fait tu ne vaux pas mieux qu'elle.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués

Bon on va faire simple.... on le connait ton problème... c'est pas les idées mais que ce soit une arabe.

Si elle avait les mêmes idées que toi, heureusement cela ne court pas les rues, au mieux tu la tolérerais. Mais c'est malin, tu essaies de rallier les gens en utilisant son argumentation.

Mais tu sais on peut trouver que c'est méchamment niaiseux sans pour autant douter qu'elle aie sa place dans notre communauté. Si on devait sacrer dehors tout ceux qui ont des idées niaiseuses ça regarderait mal (aussi chez les pures laines).

Modifié par yow_lys
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués

Il faut bien reconnaitre que sous le couvert de l'islamophobie, on interdit de parler à beaucoup de gens qui ne disent pas que des mensonges. Cela sert d'excuse pour tolérer tous les comportements déviants et irrespectueux envers le reste de la population d'une partie de l'immigration sans que les gens ne puissent rien dire sans être traité d'islamophobe. Ce comportement à ses limites et recèle un immense danger à l'intérieur de cette façon de faire.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués

Il faut bien reconnaitre que sous le couvert de l'islamophobie, on interdit de parler à beaucoup de gens qui ne disent pas que des mensonges. Cela sert d'excuse pour tolérer tous les comportements déviants et irrespectueux envers le reste de la population d'une partie de l'immigration sans que les gens ne puissent rien dire sans être traité d'islamophobe. Ce comportement à ses limites et recèle un immense danger à l'intérieur de cette façon de faire.

Ce n'est pas la première à soulever cette hypothèse "coloniale" sur le Québec. Y a rien d'islamique à son point de vue. Arrête donc ta paranoïa. D'ailleurs l'auteur des Soeurs Volées parlent aussi de réflexe colonial pour le québec... tu vas dire quoi? c'est pas une arabe

L'autre truc qui me gène c'est que c'est un extrait d'on ne sait quoi ni où, publié par une source peu fiable... poste de veille.... pas franchement un site de discussions ouvertes et amicales.

Modifié par yow_lys
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués

Il faut bien reconnaitre que sous le couvert de l'islamophobie, on interdit de parler à beaucoup de gens qui ne disent pas que des mensonges. Cela sert d'excuse pour tolérer tous les comportements déviants et irrespectueux envers le reste de la population d'une partie de l'immigration sans que les gens ne puissent rien dire sans être traité d'islamophobe. Ce comportement à ses limites et recèle un immense danger à l'intérieur de cette façon de faire.

Il ne faut pas verser dans la paranoïa non plus. Où sont-ils, ces immigrants déviants et irrespectueux envers le reste de la population sans en être inquiétés? As-tu seulement des exemples?

Au Québec, on condamne tout autant les gens comme l'imam Chaoui que les membres de Pegida. Et c'est mieux comme ça!

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués

@Yow

Bon on va faire simple.... on le connait ton problème... c'est pas les idées mais que ce soit une arabe.

Quatre femmes originaires d'Afrique du Nord que j'aime beaucoup, leur personnalité et leurs idées

Djemila benhabib

Malika Sorel

Nabila Ben Youssef

Fatima Houda-Pépin

Il y a même une que fantasme grave ?

Si elle avait les mêmes idées que toi, heureusement cela ne court pas les rues, au mieux tu la tolérerais.

Tu veux dire que je suis raciste ? Le point Godwin arrive bientôt ?

Mais c'est malin, tu essaies de rallier les gens en utilisant son argumentation.

Non le but de ce post n'était pas de rallier.

Mais tu sais on peut trouver que c'est méchamment niaiseux sans pour autant douter qu'elle aie sa place dans notre communauté.

Sa place dans la communauté universitaire est plus que discutable, cela démontre le niveau très bas, mais faut dire qu'à l'UQAM rien ne me surpprend

Si on devait sacrer dehors tout ceux qui ont des idées niaiseuses ça regarderait mal (aussi chez les pures laines).

En effet, chez les pures-laines, les immigrants et même chez les bobos-degauche-franco-socialo-humanistes, oui il y a de tout tout tout

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués

Sur la question de la colonisation c'est une réalité non? Avant l'arrivé des européennes qui vivait en Amérique du Nord ?!!

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

L'Islam n'est pas une race mais une mafia.
Chaoui est un vrai musulman qui suit exactement les enseignements de Mahomet...
tout comme les barbouzes du Daesh(État Musulman)
Il est criminel au Canada de condamner cette soi-disant "religion" qui ordonne de lapider les femmes,
(Jésus a dit:"qui est sans péché jette la première pierre") Mahomet a décrit la grosseur
des pierres à utiliser pour lapider, souvent et abondamment.

Les Juifs de la tribu "Banu Qureiza ont fait l'erreur de s'allier à Mahomet-Baphomet pour
combattre ses ennemis arabes à Médina...Une fois ces arabes battus, Mahomet a attaqué
les Banu Qureiza et a décapité de sa propre main MILLE hommes, puis il a torturé leur chef
pour lui voler son or et l'a décapité lui aussi.
Ensuite il a violé la jeune femme du chef par dessus son cadavre encore palpitant.

Et, OUI! la décapitation des infidèles est la base de l'Islam...
QU'IL EST DÉFENDU DE CRITIQUER AU CANADA!
Merci Monsieur Harper, merci le tas de Coderre et merci au Sheik Abdul Ibn Al Couillon!

C'EST TELLEMENT MIEUX AU CALIPHAT!!!

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués

Il faut bien reconnaitre que sous le couvert de l'islamophobie, on interdit de parler à beaucoup de gens qui ne disent pas que des mensonges. Cela sert d'excuse pour tolérer tous les comportements déviants et irrespectueux envers le reste de la population d'une partie de l'immigration sans que les gens ne puissent rien dire sans être traité d'islamophobe. Ce comportement à ses limites et recèle un immense danger à l'intérieur de cette façon de faire.

Il ne faut pas verser dans la paranoïa non plus. Où sont-ils, ces immigrants déviants et irrespectueux envers le reste de la population sans en être inquiétés? As-tu seulement des exemples?

Au Québec, on condamne tout autant les gens comme l'imam Chaoui que les membres de Pegida. Et c'est mieux comme ça!

Dernier exemple en date, cérémonie en niqab pour l'assermentation, et refus de retirer son voile devant un juge, tu as raison il n'y a aucuns exemples et ceci est juste ce que je me souviens en 30s.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Rejoindre la conversation

Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Collé en tant que texte enrichi.   Coller en tant que texte brut à la place

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   Vous ne pouvez pas directement coller des images. Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insérez-les depuis une URL.

  • En ligne récemment   0 membre est en ligne

    • Aucun utilisateur enregistré regarde cette page.



×
×
  • Créer...
Ouvrir un compte bancaire avant mon départ
© 2024 immigrer.com

Advertisement