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Pour trouver du travail au Québec, mieux vaut parler anglais


Laurent

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Pour trouver du travail au Québec, mieux vaut parler anglais

LE MONDE |  • Mis à jour le 

 
Dans la région de Montréal en particulier, le bilinguisme est très généralement exigé par les employeurs.
Dans la région de Montréal en particulier, le bilinguisme est très généralement exigé par les employeurs. SHAUN BEST/REUTERS

 

Selon des informations émanant du ministère québécois de l’immigration, de la diversité et de l’inclusion, 23 % des personnes ayant immigré récemment, ne parlant que le français, se trouvent au chômage, contre 16 % de ceux qui ne parlent que l’anglais, révèle le quotidien de Montréal Le Devoir.

 

Dans la région de Montréal en particulier, le bilinguisme est très généralement exigé par les employeurs. « Les immigrants qui ne parlent pas anglais n’ont pas accès à 40 % des emplois », relève l’économiste Brahim Boudarbat. La plupart des offres d’emploi mentionnent d’ailleurs cette exigence, alors même qu’elle contrevient à l’article 46 de la charte de la langue française qui fait du français la langue officielle du Québec.

 

Un phénomène de discrimination explique en partie cette situation : « Les immigrants qui ne parlent pas anglais proviennent essentiellement du Maghreb et d’Afrique noire », constate le journal.

Avec le temps, toutefois, le taux de chômage des immigrants monolingues se réduit. Après plus de cinq ans passés au Québec, mais moins de dix ans, il tombe à 13,8 % pour les francophones. Au-delà de dix ans, il est de 7,9 %, soit un taux à peu près équivalent à celui des salariés bilingues de la région, précise Le Devoir.


En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/campus/article/2016/04/29/pour-trouver-du-travail-au-quebec-mieux-vaut-parler-anglais_4910981_4401467.html#Zivx7mPDY2d2dUv2.99

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Etre bilingue est toujours avantageux

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Il y a 1 heure, Laurent a dit :

Pour trouver du travail au Québec, mieux vaut parler anglais

 

 

Merci Captain Obvious...

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Il y a 2 heures, Laurent a dit :

Pour trouver du travail au Québec, mieux vaut parler anglais

LE MONDE | 29.04.2016 à 14h16 • Mis à jour le 02.05.2016 à 08h59

 
 

Un phénomène de discrimination explique en partie cette situation : « Les immigrants qui ne parlent pas anglais proviennent essentiellement du Maghreb et d’Afrique noire », constate le journal.

Avec le temps, toutefois, le taux de chômage des immigrants monolingues se réduit. Après plus de cinq ans passés au Québec, mais moins de dix ans, il tombe à 13,8 % pour les francophones. Au-delà de dix ans, il est de 7,9 %, soit un taux à peu près équivalent à celui des salariés bilingues de la région, précise Le Devoir.


En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/campus/article/2016/04/29/pour-trouver-du-travail-au-quebec-mieux-vaut-parler-anglais_4910981_4401467.html#Zivx7mPDY2d2dUv2.99

 

Le mieux, pour éviter ce phénomène de discrimination, c'est d'accepter d'aller travailler en région où on sera accueilli en francophone très bienvenu. Mais rien à faire. Le communautarisme reste le plus fort. 

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Dans ce contexte, comment voulez -vous que le français ait une place de choix ? Ce phénomène discriminatoire est connue des autorités, et que-ce qui est fait justement pour contraindre ces entreprises qui s'adonnent à ces pratiques ? Du moment où un travailleur parle une des langues parfaitement, pourquoi le discriminé à l'embauche ? À quoi servent alors tous les efforts déployés par la francophonie pour rester compétitif dans les zones où la langue française est de pratique, du moment où l'espagnole, le mandarin sont mieux placés à l'échelle mondial. Quel intérêt pour un hispanique, un chinois d'apprendre le français ? Et tout l'argent versé à des institutions pour la francisation ? Pour être discriminé par la suite ? Que de l'argent jeté. 

Dans ce contexte, si j'étais parmi ces chômeurs, j'opterais vivre dans la partie anglophone, m'y mettre à fond dans langue, que de perdre mon temps au Québec. 

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Il y a 2 heures, Laurent a dit :

Pour trouver du travail au Québec, mieux vaut parler anglais

LE MONDE | 29.04.2016 à 14h16 • Mis à jour le 02.05.2016 à 08h59

 
Dans la région de Montréal en particulier, le bilinguisme est très généralement exigé par les employeurs. Dans la région de Montréal en particulier, le bilinguisme est très généralement exigé par les employeurs. SHAUN BEST/REUTERS

 

Selon des informations émanant du ministère québécois de l’immigration, de la diversité et de l’inclusion, 23 % des personnes ayant immigré récemment, ne parlant que le français, se trouvent au chômage, contre 16 % de ceux qui ne parlent que l’anglais, révèle le quotidien de Montréal Le Devoir.

 

Dans la région de Montréal en particulier, le bilinguisme est très généralement exigé par les employeurs. « Les immigrants qui ne parlent pas anglais n’ont pas accès à 40 % des emplois », relève l’économiste Brahim Boudarbat. La plupart des offres d’emploi mentionnent d’ailleurs cette exigence, alors même qu’elle contrevient à l’article 46 de la charte de la langue française qui fait du français la langue officielle du Québec.

 

Un phénomène de discrimination explique en partie cette situation : « Les immigrants qui ne parlent pas anglais proviennent essentiellement du Maghreb et d’Afrique noire », constate le journal.

Avec le temps, toutefois, le taux de chômage des immigrants monolingues se réduit. Après plus de cinq ans passés au Québec, mais moins de dix ans, il tombe à 13,8 % pour les francophones. Au-delà de dix ans, il est de 7,9 %, soit un taux à peu près équivalent à celui des salariés bilingues de la région, précise Le Devoir.


En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/campus/article/2016/04/29/pour-trouver-du-travail-au-quebec-mieux-vaut-parler-anglais_4910981_4401467.html#Zivx7mPDY2d2dUv2.99

 

Parfois la presse racontent n'importe quoi.

En Afrique, c'est plutôt l'Afrique noire qui parle plus anglais. Toute l'Afrique australe et certains pays du nord (Nigeria, ghana, liberia, sierra Leone, Gambie, etc...) et bien d'autres le Kenya, Tanzanie, Malawi, etc... 

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Parfois la presse racontent n'importe quoi.

En Afrique, c'est plutôt l'Afrique noire qui parle plus anglais. Toute l'Afrique australe et certains pays du nord (Nigeria, ghana, liberia, sierra Leone, Gambie, etc...) et bien d'autres le Kenya, Tanzanie, Malawi, etc... 

En effet c'est comme les % politique c'est uniquement les personnes interrogées et non pas 100 des fr....mais ça donne en effet un vague aperçu

Envoyé de mon GT-I9195 en utilisant l\\\'application mobile Immigrer.com

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Il y a 2 heures, Arob@se a dit :

 

Parfois la presse racontent n'importe quoi.

En Afrique, c'est plutôt l'Afrique noire qui parle plus anglais. Toute l'Afrique australe et certains pays du nord (Nigeria, ghana, liberia, sierra Leone, Gambie, etc...) et bien d'autres le Kenya, Tanzanie, Malawi, etc... 

 

L'article te dit simplement que parmi les immigrants qui débarquent au Québec, ceux qui ne parlent pas anglais viennent majoritairement du Maghreb ou d'Afrique Noire. Je vois pas en quoi c'est faux et en quoi c'est raconter n'importe quoi. Ça ne dit pas que les Africains parlent tous français, ou que les pays d'Afrique Noire sont pas plus anglophones que francophones, ou que tous les immigrants africains partout au Canada parlent que français.

 

Soit dit en passant, il y a plus de pays francophones en Afrique que de pays anglophones. Mais ils ont moins d'habitants que les pays anglophones.

Modifié par crazy_marty
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Il y a 4 heures, Arob@se a dit :

Dans ce contexte, comment voulez -vous que le français ait une place de choix ? Ce phénomène discriminatoire est connue des autorités, et que-ce qui est fait justement pour contraindre ces entreprises qui s'adonnent à ces pratiques ? Du moment où un travailleur parle une des langues parfaitement, pourquoi le discriminé à l'embauche ? 

 

Tout simplement parce que c'est l'économie qui mène le monde. Et que l'économie du Québec, face aux voisins américain et canadien anglophone, elle est inexistante. Vous qui êtes financier, vous savez bien que tout se joue sur les places comme New-York ou Toronto. Si vous ne pouvez pas échanger professionnellement parlant avec vos homologues anglophones, vous faites quoi?

 

Et si vous voulez travailler dans un commerce, faire du service à la clientèle, vous aurez une forte clientèle anglophone. Vous faites quoi si vous êtes employeur? Vous embauchez quelqu'un qui pourra servir tout le monde et optimisera son travail ou bien uniquement un francophone qui ne pourra être efficace qu'à 50 %, juste parce que vous vous êtes donné la mission de sauver le français au Québec?

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Il y a 3 heures, crazy_marty a dit :

Soit dit en passant, il y a plus de pays francophones en Afrique que de pays anglophones.

C'est très discutable. A la limite il y aura un mano a mano. Il faut préalablement qu'on s'entende sur ce que veut dire ''pays francophone'' ou ''pays anglophone'' pour faire le décompte. Faut-il en effet prendre en compte le Rwanda où l'extinction du français est programmée, la Guinée Équatoriale qui n'est francophone que du seul fait d'une décision de son chef d'Etat,  le Cameroun qui partage les deux langues à l'instar de Maurice et des Seychelles, du Soudan où l'anglais n'est qu'un vestige de la colonisation, de Madagascar où le français est cantonné à une langue élitiste ?

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Et encore... J'ai un anglais très britannique (l'accent) et souvent les américains ne me comprennent pas. Je me force à écouter beaucoup de chaines en anglais "nord américain" mais au bout d'un moment j'ai overdose.

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     Le probléme dans tout ça c'est que l'une des motivations les plus importantes de ces maghrébins et autres africains qui choisissent le quebec c'est bien cette langue française qu'ils maitrisent bien plus que l'anglais, sinon ils peuvent bien immigrer dans une région anglophone du canada. Je comprend cette necessité de communiquer avec ses clients anglophones mais dans ce cas là il faut juste des connaissances en anglais et l'amélioration vient en pratique, mais beaucoup d'employeurs québécois éxigent une "excellente maitrise" de cette langue même pour des postes techniques. Et là je me demande si les emplyeurs anglophones exigent de leur part la bonne maitrise du français en plus de l'anglais? eux aussi devraient communiquer avec leur clients francophones.

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     Le probléme dans tout ça c'est que l'une des motivations les plus importantes de ces maghrébins et autres africains qui choisissent le quebec c'est bien cette langue française qu'ils maitrisent bien plus que l'anglais, sinon ils peuvent bien immigrer dans une région anglophone du canada. Je comprend cette necessité de communiquer avec ses clients anglophones mais dans ce cas là il faut juste des connaissances en anglais et l'amélioration vient en pratique, mais beaucoup d'employeurs québécois éxigent une "excellente maitrise" de cette langue même pour des postes techniques. Et là je me demande si les emplyeurs anglophones exigent de leur part la bonne maitrise du français en plus de l'anglais? eux aussi devraient communiquer avec leur clients francophones.

Les employeurs anglophones s en fichent du niveau de français tant que ce n est pas leur business.

Les employeurs francophones veulent une 'excellente maitrise' que pour les postes ou c est important d avoir une excellente maitrise vis à vis de la clientèle ... La plupart des cas une compréhension et communication orale est amplement suffisante.

Pour certaines communautés le chômage ne vient pas forcément de cette non maîtrise de l anglais et a des causes que l on peut imputer aussi-bien aux employeurs qu aux immigrants eux mêmes.

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il y a une heure, kuroczyd a dit :




La plupart des cas une compréhension et communication orale est amplement suffisante.




Pour certaines communautés le chômage ne vient pas forcément de cette non maîtrise de l anglais et a des causes que l on peut imputer aussi-bien aux employeurs qu aux immigrants eux mêmes.






Je suis tout à fait d'accords avec vous, seulement que ma réaction était sur ce tôt de chômage causé juste par cette non maitrise de l'anglais. Et je ne suis pas du tout contre la maitrise de l'anglais au contraire, une langue maitrisée de plus c'est une ouverture de plus sur le monde, mais je crois que les employeurs peuvent quand même donner une chance à ces immigrants qui peuvent se perfectionner en quelques Mois de leur embauche, ça rentre dans l'amélioration continue.


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L'immigration la plus importante du Québec est économique. Pour être objectif, pourquoi tous ces dollars versé à la francisation des promos arrivés, sachant bien que la majorité parlent français. Il serait plutôt souhaitable qu'on privilégie l'apprentissage de l'anglais pour les promos arrivants, comme ça on baissera le taux de chômeurs comme souligné dans le journal susmentionné sur ce post. Ça ne m'étonne pas d'entendre des commentaires des personnes qui en fin de compte préfèrent la partie anglophone que francophone ? .

Envoyé de mon SM-N910F en utilisant l\\\'application mobile Immigrer.com

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L'immigration la plus importante du Québec est économique. Pour être objectif, pourquoi tous ces dollars versé à la francisation des promos arrivés, sachant bien que la majorité parlent français. Il serait plutôt souhaitable qu'on privilégie l'apprentissage de l'anglais pour les promos arrivants, comme ça on baissera le taux de chômeurs comme souligné dans le journal susmentionné sur ce post. Ça ne m'étonne pas d'entendre des commentaires des personnes qui en fin de compte préfèrent la partie anglophone que francophone ? .

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Primos arrivants, je voulais dire.

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Le 28/06/2016 at 13:01, Arob@se a dit :

Dans ce contexte, comment voulez -vous que le français ait une place de choix ? Ce phénomène discriminatoire est connue des autorités, et que-ce qui est fait justement pour contraindre ces entreprises qui s'adonnent à ces pratiques ? Du moment où un travailleur parle une des langues parfaitement, pourquoi le discriminé à l'embauche ? À quoi servent alors tous les efforts déployés par la francophonie pour rester compétitif dans les zones où la langue française est de pratique, du moment où l'espagnole, le mandarin sont mieux placés à l'échelle mondial. Quel intérêt pour un hispanique, un chinois d'apprendre le français ? Et tout l'argent versé à des institutions pour la francisation ? Pour être discriminé par la suite ? Que de l'argent jeté. 

Dans ce contexte, si j'étais parmi ces chômeurs, j'opterais vivre dans la partie anglophone, m'y mettre à fond dans langue, que de perdre mon temps au Québec. 

 

 

J'espère que tu veux immigrer dans une province anglophone parce que si tu veux immigrer au Québec après ce que tu dis, c'est que ton discours est totalement incohérent. :whistlingb:

 

Tu confonds malhonnêtement discrimination et nécessité économique. Exemple : un employeur dans l'ouest de Montréal, là où il y a de nombreux clients anglophones, engagent  des employés francophones qui ne parlent pas anglais, donc ne peuvent pas communiquer avec la clientèle anglophone. Résultat : les clients anglophones boudent le commerce et le commerce fait faillite. C'est ce que tu veux ? J'espère que non. C'est une nécessité économique pour ce commerçant dans ce contexte d'engager des employés qui parlent anglais et qui peuvent communiquer avec les clients anglophones.

 

Autre exemple. Une PME québécoise exporte 70 % de sa production dans les provinces anglophones et aux États-Unis. Elle recherche un directeur des ventes. Il engage un directeur des ventes francophone qui ne parle pas anglais... ses exportations vers les provinces anglophones et vers les États-Unis chutent dramatiquement et fait faillite. C'est ce que tu veux ? J'espère que non. Autre exemple de nécessité économique.  Bref ça n'a rien à voir avec la discrimination mais avec la nécessité économique.

 

T'as pas l'air à comprendre que l'Amérique du Nord est massivement anglophone...L'Amérique du Nord est à 98 % anglophone. Les francophones du Québec représentent seulement 2 % de la population  de l'Amérique du Nord. . Bref le Québec francophone, c'est une petite goutte d'eau dans un océan anglophone. Tu comprends maintenant pourquoi plusieurs employeurs québécois demandes à plusieurs de leurs employés de parler anglais ? :8):

 

Au Nouveau-Brunswick, c'est la même chose. Bien que la province soit officielle bilingue, de nombreux employeurs exigent de leurs employés de connaître l'anglais pour desservir la clientèle anglophone de cette province. Nécessité économique là aussi.

 

Le gouvernement du Québec donne des points pour ceux qui passent un test démontrant leur capacité de parler anglais c'est que parler anglais est important pour plusieurs emplois au Québec...

 

Le Québec est la province la plus bilingue du Canada, donc de nombreux natifs Québécois eux-mêmes apprennent l'anglais pour obtenir un emploi alors pourquoi les immigrants ne feraient-ils pas pareil ?

 

Ceux qui ne parle pas bien l'anglais doivent aller en région et non pas à Montréal, cela a été dit à de nombreuses reprises.

 

Etc.

 

Bref tu devrais éviter d'avoir une opinion aussi tranchée parce que de toute évidence, tu ne connais rien ( ou si peu ) à la réalité québécoise, canadienne et nord-américaine....::innocent:

 

Ou alors du fait du trolling. 

 

C'est dommage dans les deux cas.

 

 

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Il y a 4 heures, Arob@se a dit :

L'immigration la plus importante du Québec est économique. Pour être objectif, pourquoi tous ces dollars versé à la francisation des promos arrivés, sachant bien que la majorité parlent français. Il serait plutôt souhaitable qu'on privilégie l'apprentissage de l'anglais pour les promos arrivants

 

 

C'est quoi cette mentalité d'assistanat ? :innocent:

 

Pourquoi les immigrants ne choisiraient pas d'apprendre l'anglais avant d'immigrer au Québec ? 

 

Tu veux aussi que le gouvernement du Québec te prenne par la main et t'aide à traverser la rue  ? Quel âge tu as ?

 

Et si plusieurs immigrants parlent français en arrivant au Québec, de nombreux autres immigrants ne le parle pas. La connaissance de la langue de 80 % de la population du Québec  va aider à l'intégration de ces nouveaux arrivants.

 

J'ai lu plusieurs  de tes messages et tu as une mentalité défaitiste et tu vois de la discrimination partout, même là il n'y en a pas. Je pense qu'avec une mentalité défaitiste et d'assistanat comme la tienne, tu risques fort de te planter au Canada. Mieux vaut rester chez toi.

 

Tu sais, personne ne t'oblige à immigrer au Canada...

 

 

Modifié par resterzen
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Tu passes ton temps à lire les messages et à réagir de la sorte ? Mets-toi à réfléchir au lieu d'avoir des réactions épidermiques ?

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