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Lancement du nouveau portail pour inscrire son enfant en garderie au Québec
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Lancement du nouveau portail pour inscrire son enfant en garderie au Québec
immigrer.com a posté un sujet dans Québec
Radio-Canada Publié hier à 15 h 37 HN Les parents désireux d'inscrire un tout-petit à un service de garde disposent maintenant d'un nouveau portail créé par le gouvernement du Québec, en remplacement de l'ancien, La Place 0‐5. L'ouverture de ce nouveau guichet unique a été officialisée lundi par la ministre de la Famille et ministre responsable de la région de la Côte-Nord, Kateri Champagne Jourdain. Le précédent service du genre, La Place 0-5, n'est plus en activité depuis la mi-octobre. Les 250 000 dossiers qui avaient déjà été créés au sein de La Place 0-5 ont été automatiquement transférés au nouveau portail d'inscription. Il s'agit des dossiers des enfants nés avant le 16 octobre 2025 et qui attendent une place en service de garde. Avec l'entrée en fonction du Portail d'inscription aux services de garde, les parents qui n'avaient pas encore inscrit leur enfant pour être admis dans un centre de la petite enfance (CPE) ou dans une garderie subventionnée peuvent maintenant le faire. Toutefois, en vertu de la nouvelle procédure instaurée par Québec, le parent qui avait inscrit son enfant à naître sur la liste de La Place 0-5, et dont l'enfant n'est pas né avant le 16 octobre, ne verra pas son dossier être transféré dans le nouveau portail. Autrement dit, ce parent devra refaire l’inscription après la naissance du bébé ou après son arrivée dans la famille, s'il s'agit d'une adoption. Avec l'ouverture du portail, les parents peuvent entreprendre les démarches suivantes : inscrire leur enfant auprès des services de garde de leur choix; préciser, le cas échéant, si leur enfant présente des besoins de soutien particulier (par exemple : enfant ayant un retard de développement, un problème de santé chronique, une déficience ou un handicap physique, une déficience intellectuelle, etc.); indiquer la date d’entrée souhaitée en service de garde. Il est à noter que, pour l'attribution d'une place en service de garde, ce sera la date d'entrée souhaitée en service de garde qui sera maintenant prise en compte, plutôt que la date d'inscription sur la plateforme, comme c'était le cas auparavant. Source et suite : https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2204969/lancement-portail-inscrire-enfant-service-garde https://www.quebec.ca/famille-et-soutien-aux-personnes/enfance/garderies-et-services-de-garde/portail-inscription/parents/acceder-parents -
Non il ne semble pas y avoir d'âge maximum. https://www.canada.ca/fr/immigration-refugies-citoyennete/services/immigrer-canada/programme-immigration-atlantique/comment-immigrer.html
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Installation à sherbrooke
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Publié le20 octobre 2025 à 19h24 Mis à jour le20 octobre 2025 à 19h29 Lila Mouch Texte : Laurie Gervais Florence Bollet Michel a quitté la France pour déménager au Québec durant la pandémie afin de prêter main-forte au système de santé qui était en manque criant de personnel. Aujourd'hui, elle craint de devoir quitter la province. À l’époque, le gouvernement avait lancé un appel urgent de recrutement, promettant aux travailleurs temporaires de pouvoir s’installer à vie au Québec. Des programmes étaient d’ailleurs disponibles pour qu’ils obtiennent leur résidence permanente. Toutefois, Mme Bollet Michel se retrouve désormais dans l'impossibilité d'obtenir sa résidence permanente au Québec. Selon elle, ce sont les nombreux changements dans les programmes d'immigration au Québec qui sont en cause. «On parle souvent d’immigration, mais rarement de nous: ces centaines de professionnels de santé que le Québec est allé recruter à l’étranger avec une promesse claire – du travail pour toute une vie – et une résidence permanente accessible via des programmes aujourd’hui fermés», mentionne-t-elle. En entrevue avec Noovo Info, elle explique qu’elle s’est installée au Québec avec sa famille, qu’elle a acheté une maison et que ses quatre enfants vont maintenant à l’école ici. Elle soutient qu’aujourd’hui, elle ne trouve plus de solution pour avoir accès à la résidence permanente et que son avenir dans la province lui cause beaucoup de stress. «Un contrat de travail, c'est un peu une épée de Damoclès, on s'est rendu compte depuis qu'on est là que les politiques, elles changent tellement souvent qu'on ne sait jamais sur quel pied danser», soutient-elle. À lire également Notons que Québec a fermé le Programme de sélection des travailleurs qualifiés (PRTQ) il y a un an et le Programme de l'expérience québécoise (PEQ) en juin dernier. Il n’y a donc plus aucune porte pour obtenir la résidence permanente, outre le Programme de sélection des travailleurs qualifiés (PSTQ) – un programme ouvert en juillet où les gens doivent accumuler des points et le gouvernement fait un tirage au sort pour octroyer des résidences permanentes. Travailleuse sociale dans un CLSC, Florence explique que les journées au travail ne sont pas toujours faciles et que dès qu’elle rentre à la maison le soir, elle se demande ce qui arrivera à sa famille lorsque son contrat de travail prendra fin en avril prochain. «On se dit, mais qu'est-ce qui va nous arriver dans six mois? Qu'est-ce qui va se passer? On se rajoute un stress énorme», raconte-t-elle. Elle demande que le gouvernement revoie ses politiques d’immigration pour permettre à sa famille, mais aussi à plusieurs autres travailleurs temporaires qui sont venus prêter main-forte dans les établissements de santé de pouvoir continuer de s’établir au Québec. suite et source : https://www.noovo.info/video/impossible-dobtenir-sa-residence-permanente-une-ange-gardienne-de-la-pandemie-menacee-detre-expulsee-du-pays.html
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La famille chinoise de TingTing Biao a perdu 40 000 $ dans un projet d’immigration au Canada qui s’est avéré être une impasse. Arrivés au pays en 2024 avec un visa de visiteur, ils ont fait appel à June HR Solutions et à son agente Jun Su, qui leur proposait un parcours vers la résidence permanente facturé 110 000 $. Or, Jun Su n’était pas une consultante en immigration autorisée, et les démarches proposées (EIMT, permis de travail, puis investissement dans un visa d’affaires) étaient vouées à l’échec. Le permis de travail de Mme Biao a été refusé et les conditions pour le visa d’affaires étaient inatteignables. Selon des experts, les services d’un consultant coûtent normalement entre 5 000 $ et 10 000 $. Ce cas illustre les dérives d’un secteur décrit comme le « Far West », où les consultants non autorisés peuvent imposer des frais exorbitants sans réel encadrement. L’avocat Richard Kurland appelle Ottawa à donner plus de pouvoirs au Collège des consultants en immigration et en citoyenneté (CCIC) pour mieux protéger les candidats vulnérables. Suite et source
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Avis quartier Jolicoeur Montréal (Ville-Émard)
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jimmy a réagi à un message dans un sujet :
Avis quartier Jolicoeur Montréal (Ville-Émard)
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bencoudonc a réagi à un message dans un sujet :
Avis quartier Jolicoeur Montréal (Ville-Émard)
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Avis quartier Jolicoeur Montréal (Ville-Émard)
immigrer.com a répondu à un(e) sujet de Thibault84 dans Québec
Bonjour, Vous parlez certainement du métro Jolicoeur? Il n'y a pas de métro Jolimont. C'est dans le quartier Ville-Émard. C'est un quartier familial, près de beaucoup de choses et qui peut être une bonne option, il est aussi sécuritaire que Rosemont ou Hochelaga. Rosemont et Hochelaga n'ont pas bonne réputation ? Au contraire, le quartier Rosemont est très populaire et apprécié pour les familles et même les jeunes célibataires ou jeunes couples. Et le quartier Hochelaga qui est un ancien quartier ouvrier est plus qu'à la mode et très convoité de nos jours. Ce sont des quartiers tout à fait recommandables. -
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Mon bilan après 1 an
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Mon bilan après 1 an
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Location 6 mois appartement 3 ch meublé au Québec (zone Sherbrooke)
immigrer.com a répondu à un(e) sujet de Paqui dans Québec
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Une enseignante française du Québec doit de quitter le pays
immigrer.com a posté un sujet dans Québec
Au lieu d’être dans un local de classe le jour de la rentrée scolaire, Cléa Guérin était dans son logement de Montréal à faire des boîtes. L’enseignante française a fait des pieds et des mains afin de poursuivre sa carrière dans le réseau québécois, mais en vain : on l’a sommée de quitter le pays, alors même que des centres de services scolaires peinent toujours à pourvoir les postes vacants. Publié le 8 septembre Mélanie Marquis « Cléa a récemment été embauchée. Cléa est entrée en fonction à l’école Montessori de Montréal il y a moins d’un mois », était-il encore écrit jeudi sur la page LinkedIn de la Française, qui est titulaire d’une maîtrise en éducation de l’Université Clermont Auvergne. C’était encore vrai il y a près de trois semaines. Le 18 août dernier, Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada (IRCC) a annulé sa rentrée. Sans certificat de sélection du Québec (CSQ), elle ne répond pas aux exigences de la loi fédérale en vue de l’obtention d’un permis de travail. Elle a donc 90 jours pour quitter le Canada. Le compte à rebours est commencé. « Je suis dans les boîtes, et on doit vendre le plus vite possible la voiture, donc on perd énormément d’argent. Tout ce qu’on a économisé depuis qu’on travaille, on doit le mettre dans notre départ », se désole Cléa Guérin. Son cas est loin d’être unique. Mais dans le contexte de pénurie d’enseignants que l’on connaît, il est ironique, estime la trentenaire. « J’avoue que je n’y croyais pas. On venait de dire [fin août] qu’il restait plus de 4000 postes à pourvoir. Je pensais que j’étais dans un métier où on avait besoin de moi », lâche-t-elle. La voici pratiquement résignée à tourner la page sur les deux dernières années à enseigner au primaire. « Je me suis sentie utilisée, confie la native du sud de la France. Ce sont des vies qui sont chamboulées parce que le gouvernement implante des politiques qui n’ont ni queue ni tête pour se faire réélire. » Des tergiversations nuisibles L’avocat qu’elle a embauché pour l’aider à naviguer dans le dédale du système d’immigration, Me Alexandre Hénault, n’est pas plus tendre. « N’allez pas pleurer partout en disant qu’il manque des enseignants, et on en a une qui va devoir partir […] C’est quand même bien dommage », exprime-t-il. Il insiste sur le fait qu’il ne veut pas « jeter la pierre » aux gouvernements fédéral et québécois. « Ils n’ont pas fait d’erreurs techniques », précise l’avocat. Il montre plutôt du doigt « un momentum qui est excessivement défavorable avec toutes les annonces de suspension et de moratoire faites par le gouvernement de la CAQ ». Car entre la suspension du volet travailleurs du Programme de l’expérience québécoise (PEQ)1 et l’entrée en vigueur de ce que Me Hénault appelle la « version bêta du programme venu le remplacer », c’est-à-dire le Programme de sélection des travailleurs qualifiés (PSTQ), sa cliente se retrouve un peu dans les limbes. « Son cas est un exemple édifiant de gâchis », illustre l’avocat, dont la spécialité est de « faciliter avec une fermeté sympathique l’immigration des Européens au Canada, et plus spécifiquement au Québec », selon la biographie sur le site web de la firme Wellestein Mora Rodriguez International, où il est associé local. ..... Source et suite : https://www.lapresse.ca/actualites/education/2025-09-08/penurie-de-personnel-scolaire/une-enseignante-francaise-sommee-de-quitter-le-pays.php -
En quête d’un poste temporaire dans le secteur pharmaceut
immigrer.com a répondu à un(e) sujet de Arnauld21 dans Québec
Bonjour, Bienvenue parmi nous. Il y a quelques témoignages de pharmaciens immigrants au Québec dans cette section des FAQ : https://www.immigrer.com/categorie/faq/Metiers-de-biotech-et-sante/ -
Malheureusement le programme pour les ukrainiens s'est arrêté le 31 mars 2024 : https://www.canada.ca/fr/immigration-refugies-citoyennete/services/immigrer-canada/mesures-ukraine.html Avez-vous pensé au parrainage privé ? Parrainage privé (PSR/BVOR) https://www.canada.ca/fr/immigration-refugies-citoyennete/services/refugies/parrainer-refugie/programme-parrainage-prive.html Autremement, il y a les voies classiques d'immigration comme Entrée Express ou Arrima.
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immigrer.com a réagi à un message dans un sujet :
Faute de place en francisation, un Mexicain apprend le français avec les «Têtes à claques»
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Il a aussi la chance de pouvoir se payer des cours privés Un immigrant mexicain qui n’a pas eu de place rapidement en francisation apprend entre autres le français... en écoutant les Têtes à claques. «Les expressions québécoises, je les apprends avec les Têtes à claques. Je n’arrive pas à tout comprendre, parce qu’ils parlent très vite, mais c’est un bon outil d’apprentissage», raconte Daniel Martin Flores Reyes, le sourire dans la voix. L’immigrant mexicain est arrivé au Québec il y a deux ans. Son expression préférée ? «Lâche pas la patate, répond-il. Je trouve ça mignon.» Après avoir terminé un baccalauréat à Toronto, l’homme de 27 ans a déménagé dans la Capitale-Nationale parce qu’il était curieux d’apprendre le parler d’ici. Sur les réseaux «Ce que j’aime de l’apprentissage du français, c’est la culture et l’histoire du Québec, parce qu’elles sont uniques», dit celui qui partage l’évolution de sa pratique de la langue de Tremblay sur TikTok et Instagram sous le pseudonyme coco_street. «C’est une façon de me motiver», explique celui qui se sent chez lui dans sa nouvelle province en raison des similarités culturelles qu’elle partage avec le Mexique. Les deux peuples valorisent la famille et l’amitié, sont accueillants et surtout sont rigolos, selon lui. Sa famille l’appuie financièrement dans son processus migratoire et l’aide à payer des cours de français privés en ligne. Son employeur aussi le forme en français, et il peut compter sur sa curiosité débordante. Source : Journal de Montréal Les Têtes à claques : tetesaclaques.tv
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Comment étudier la langue française gratuitement de A à Z
immigrer.com a répondu à un(e) sujet de Langue dans Parrainages et Mariages
Faute de place en francisation, un Mexicain apprend le français avec les «Têtes à claques» Il a aussi la chance de pouvoir se payer des cours privés Un immigrant mexicain qui n’a pas eu de place rapidement en francisation apprend entre autres le français... en écoutant les Têtes à claques. «Les expressions québécoises, je les apprends avec les Têtes à claques. Je n’arrive pas à tout comprendre, parce qu’ils parlent très vite, mais c’est un bon outil d’apprentissage», raconte Daniel Martin Flores Reyes, le sourire dans la voix. L’immigrant mexicain est arrivé au Québec il y a deux ans. Son expression préférée ? «Lâche pas la patate, répond-il. Je trouve ça mignon.» Après avoir terminé un baccalauréat à Toronto, l’homme de 27 ans a déménagé dans la Capitale-Nationale parce qu’il était curieux d’apprendre le parler d’ici. Sur les réseaux «Ce que j’aime de l’apprentissage du français, c’est la culture et l’histoire du Québec, parce qu’elles sont uniques», dit celui qui partage l’évolution de sa pratique de la langue de Tremblay sur TikTok et Instagram sous le pseudonyme coco_street. «C’est une façon de me motiver», explique celui qui se sent chez lui dans sa nouvelle province en raison des similarités culturelles qu’elle partage avec le Mexique. Les deux peuples valorisent la famille et l’amitié, sont accueillants et surtout sont rigolos, selon lui. Sa famille l’appuie financièrement dans son processus migratoire et l’aide à payer des cours de français privés en ligne. Son employeur aussi le forme en français, et il peut compter sur sa curiosité débordante. Source : Journal de Montréal Les Têtes à claques : tetesaclaques.tv -
Plus de flexibilité pour le personnel enseignant formé hors Québec
immigrer.com a posté un sujet dans Votre profession
Entre le stage, la famille et les études, les nouveaux arrivants qui souhaitent enseigner au primaire ou au secondaire doivent jongler avec des horaires complexes. «Comment maximiser la flexibilité du programme? C’est le défi», dit Alejandro González-Martín, responsable du microprogramme de qualification en enseignement, offert au premier cycle par la Faculté des sciences de l’éducation de l’Université de Montréal. Pour enseigner dans les écoles primaires et secondaires québécoises, les personnes formées en enseignement à l’extérieur de la province doivent soumettre leur dossier au ministère de l’Éducation, qui juge de l’équivalence de la formation. «C’est une voie rapide, mais c’est parce que ces gens ont déjà été formés dans leur pays», note Alejandro González-Martín. S’adapter à un autre système Munie d’un permis d’enseignement provisoire, la personne doit ensuite obtenir 15 crédits universitaires (soit réussir cinq cours) qui permettent de mieux connaître le système scolaire québécois et ses particularités, comme son fonctionnement et ses règlements, la gestion de classe, les approches didactiques et les approches évaluatives. «Quand je suis arrivé, j’étais un peu fâché d’avoir à suivre ces cours, raconte le diplômé du microprogramme Mesut Biderek, qui avait auparavant enseigné la géographie en Turquie et en Espagne. Mais finalement, j’ai appris énormément. On doit s’adapter à une autre culture, à un autre système après tout.» Le programme d’études a pris son nom actuel en 2018. «Toutes les universités proposent ces cours, mais n’ont pas nécessairement de programme destiné à cette clientèle. On est une des seules universités à les offrir sous cette forme», affirme Alejandro González-Martín. L’UdeM a en effet fait le choix de rassembler cette population plutôt que de la greffer aux étudiants et étudiantes du baccalauréat en éducation. «Avec leur expérience d’ici et d’ailleurs, on sentait qu’on pouvait s’appuyer sur le bagage de ces gens et aller plus loin pour faciliter leur intégration professionnelle», précise-t-il. Mesut Biderek acquiesce: «Ce fut un plaisir de pouvoir côtoyer 45 enseignants et enseignantes qui venaient de partout dans le monde.» Un maximum de flexibilité La pandémie aura, comme dans tous les programmes, forcé la main pour transporter les cours en ligne. «Mais lorsque le présentiel est revenu, la faculté a voulu favoriser le mode hybride. «L’UdeM croit toujours à la présence sur ses campus, mais on veut faciliter la conciliation», explique le responsable de programme. C’est sans compter qu’on manque de personnel enseignant partout au Québec, et pas juste dans la métropole. En proposant d’abord le cours sur le système scolaire entièrement à distance, les quatre autres cours ont ensuite été modifiés pour pouvoir se donner tour à tour en ligne et en personne. Les cinq cours sont par ailleurs offerts toutes les sessions et peuvent être suivis dans n’importe quel ordre (sauf le cours d’évaluation, qui se fait à la fin du parcours). Les inscriptions sont acceptées toute l’année. Mise à l’essai Depuis 2024, les cours en ligne varient d’une session à l’autre, outre le cours sur le système scolaire, systématiquement donné en ligne. Après deux sessions de test, une boucle logique a été établie par le comité de programme; les étudiantes et étudiants peuvent donc terminer à distance le microprogramme en quatre sessions s’ils le souhaitent. Une personne pourrait aussi décider de commencer le microprogramme en présentiel et de le finir en ligne ou vice versa. De 30 à 40 personnes s’inscrivent chaque session au microprogramme. La popularité du parcours en ligne reste à voir, mais le comité est ouvert à tout: «On expérimente. C’est sûr que, s’il y a foule à distance, on verra si l’on peut élargir l'offre. La faculté est prête», assure Alejandro González-Martín. source et suite : https://nouvelles.umontreal.ca/article/2025/02/13/plus-de-flexibilite-pour-le-personnel-enseignant-forme-hors-quebec/ -
qwintine a réagi à un message dans un sujet :
Étudiants africains désirant venir au Canada : comment des réseaux criminels les dupent
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bencoudonc a réagi à un message dans un sujet :
Étudiants africains désirant venir au Canada : comment des réseaux criminels les dupent
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Voici comment des réseaux criminels ont orchestré la venue d’étudiants africains au Canada Diplômes falsifiés, lettres d’acceptation contrefaites, preuves bancaires truquées, promesses mensongères de bourses d’études, des réseaux criminels d’immigration ont berné des étudiants africains, des universités canadiennes et même les gouvernements du Québec et du Canada. Les stratagèmes de ces arnaqueurs ont fait des victimes, mais ont aussi profité à des demandeurs d'asile. Photo : Radio-Canada / Priscilla Plamondon Lalancette Priscilla Plamondon Lalancette Priscilla Plamondon Lalancette Publié le 9 avril à 4 h 00 HAE Écouter l’article | 19 minutes La version audio de cet article est générée par la synthèse vocale, une technologie basée sur l’intelligence artificielle. Une petite table, deux chaises, un futon. Aminata (nom fictif) nous reçoit dans son logement presque vide à Saguenay. Par la fenêtre, elle jette un œil à la rivière givrée. L’hiver a été pénible pour la jeune ressortissante du Bénin qui rêvait d’étudier à l’Université du Québec à Chicoutimi (UQAC). Depuis plus d’un an, elle vit de manière clandestine. Comme beaucoup d'étudiants, elle a quitté l’Afrique dans le but d’améliorer son sort. Gestionnaire des ressources humaines au Bénin et titulaire d'une maîtrise, elle est persuadée qu'un diplôme canadien offrira un avenir meilleur à sa famille. Toutefois, Aminata n’a jamais soupçonné qu’elle se retrouverait ici piégée dans la précarité. Aminata vit dans la précarité depuis son arrivée au Canada. Photo : Radio-Canada / Priscilla Plamondon Lalancette Tout commence en 2023 quand elle confie les rênes de son projet à un homme qui se dit consultant en immigration. Celui qui opère entre le Bénin et le Canada lui garantit une entrée au pays. Tous les échanges se déroulent sur WhatsApp. L’Africaine n’y voit que du feu. À chaque étape qui la rapproche du but, l’expert lui demande une somme d’argent. Au total, elle lui verse 7000 $. Et ça marche. La jeune femme reçoit sa lettre d’admission à l’UQAC puis ses papiers officiels d’immigration. J’étais tellement contente!, se souvient Aminata. En août, elle s’envole donc pour le Canada, juste à temps pour la rentrée scolaire. Une fois qu'elle atterrit à Montréal, le consultant l’avise cependant de ne pas se présenter à l’université. Il m’a dit de ne pas montrer les documents qu’il m’avait remis. Aminata n’y comprend rien. Elle se rend à Chicoutimi pour dissiper tout malentendu et confirmer son inscription. C’est là qu’elle frappe un mur : sa lettre d’acceptation est une contrefaçon. Le Canada a pourtant produit son visa sur la base de ce document. Les autorités de l’UQAC m’ont informée que ma lettre n'avait pas été émise par eux, que c’est une fausse lettre. J’ai été victime de fraude. Ils ont trouvé une demande à mon nom, mais le dossier était incomplet. Je n’avais pas été acceptée… Source et suite : https://ici.radio-canada.ca/info/long-format/2153789/universite-uqac-fraude-reseau-immigration
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Lisa-Marie Gervais Publié le 9 avril Enquête Le Devoir Enquête Recruter sous un permis de travail fermé un immigrant temporaire pour un poste à Montréal et l’envoyer occuper un tout autre emploi dans une entreprise ailleurs au Québec ? C’est illégal. C’est pourtant ce qu’a fait une agence de recrutement et de placement de personnel, qui a engagé sous des permis fermés plus d’une cinquantaine de travailleurs étrangers temporaires pour ensuite les donner en location à plusieurs entreprises tierces partout au Québec, mettant ces migrants à risque d’expulsion. Basée à Châteauguay, puis dans l’arrondissement montréalais de LaSalle, l’Agence de recrutement et de placement des employés Iris, dirigée par Dieudonné Nidufasha, a de plus trompé et exploité financièrement ces travailleurs africains — à qui elle doit des milliers de dollars en salaire impayé, selon des rapports d’enquête de la Commission des normes, de l’équité, de la santé et de la sécurité du travail (CNESST) obtenus par Le Devoir. Au cours du mois dernier, la CNESST a enregistré quatre nouvelles poursuites devant les tribunaux contre l’agence Iris, pour des réclamations totalisant près de 100 000 $. Dieudonné Nidufasha nie avoir agi dans l’illégalité en envoyant ses employés immigrants travailler ailleurs et prétend les avoir toujours bien payés. « [L’enquêteur de la CNESST], il a inventé des plaintes », dit-il. Une de ses travailleuses, qu’il a envoyée dans une résidence pour aînés à Rivière-du-Loup au lieu de lui faire occuper le poste pour lequel elle avait été recrutée, dit pourtant avoir vécu un « enfer » bien réel. « C’était difficile moralement. Je pleurais tous les soirs. Je voulais rentrer dans mon pays », confie Rose, qui s’exprime sous un nom d’emprunt par crainte de représailles. Sans revenu et liée à l’agence Iris par un permis fermé, elle dit n’avoir eu d’autre option que d’accepter de travailler là où cet employeur lui disait d’aller. Source, Le Devoir : https://www.ledevoir.com/societe/865483/enquete-travailleurs-etrangers-donnes-location
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Millex a réagi à un message dans un sujet :
Médecin retourne en France avant la fin des 3 ans d'engagement du parrainage
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Médecin retourne en France avant la fin des 3 ans d'engagement du parrainage
immigrer.com a répondu à un(e) sujet de Millex dans Médecins, infirmières et pharmaciens
Merci Millex pour votre témoignage. Si vous voulez nous en dire plus sur vos insatisfactions par rapport à la direction ou de cette installation à l'étranger, nous serions curieux d'en savoir plus. Merci !





