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10 mots pour décrire Montréal


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Je comprend pas pourquoi les gens qui sont nouveau au quebec ou les gens qui n'ont jamais ete a montreal n'aiment pas lorsequ'on leurs dis la verite sur cette ville delabreuse qui est Montreal...il faut apprendre a voir les choses avec une logique..la ville est d'une laideur incroyable digne des villes du tier monde et la plupart des immigrants issu des pays developpes tel que germany,sweden....etc retournent chez eux apres un sejour au quebec ,,ya que les gens qui ont fuient leurs pays qui restent car c un choix par defaut...

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Je comprend pas pourquoi les gens qui sont nouveau au quebec ou les gens qui n'ont jamais ete a montreal n'aiment pas lorsequ'on leurs dis la verite sur cette ville delabreuse qui est Montreal...il faut apprendre a voir les choses avec une logique..la ville est d'une laideur incroyable digne des villes du tier monde et la plupart des immigrants issu des pays developpes tel que germany,sweden....etc retournent chez eux apres un sejour au quebec ,,ya que les gens qui ont fuient leurs pays qui restent car c un choix par defaut...

:) . Tout simplement parce que la vue depuis le chalet de la montagne est une merveille, le jardin botanique est un petit bijou (que dire du festival des lanternes), se promener dans les sentiers pédestres du parc Jean Drapeau est super agréable, magasiner dans des endroits comme la place Montréal Trust est assez exceptionnel (je n'avais jamais vu avant), visiter en été, entre le festival international des feux d'artifice, le festival Juste pour rire et celui de Jazz est une expérience unique. C'est tellement dommage que vous soyez aussi blazé. Quand j'accompagne mes touristes aux endroits qu'il faut voir, ils en sortent des étoiles plein les yeux.

C'est vrai que rien n'est parfait en ce bas monde, mais tout dépend avec quels yeux on voit les choses :)

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Perso, Montréal est une ville fascinante, on y trouve de tout. Je peux me balader le soir sans risques. Les gens y sont sympas, toujours prêts à t'aider.

Moi aussi, au début je trouvais cette ville assez moche, puis simplement en se baladant, au détour des rues on y trouves des ressources cachées voire insoupçonnées.

Il y a aussi beaucoup d'animations de rues gratuites l'été.

Il y a un joyeux fatras que j'aime bien.

Pour les points négatifs, je dirais entre autres, la pénibilité de l'hiver et la mocheté de ses autoroutes très mal construites qui balafrent violement la ville.

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Je comprend pas pourquoi les gens qui sont nouveau au quebec ou les gens qui n'ont jamais ete a montreal n'aiment pas lorsequ'on leurs dis la verite sur cette ville delabreuse qui est Montreal...il faut apprendre a voir les choses avec une logique..la ville est d'une laideur incroyable digne des villes du tier monde et la plupart des immigrants issu des pays developpes tel que germany,sweden....etc retournent chez eux apres un sejour au quebec ,,ya que les gens qui ont fuient leurs pays qui restent car c un choix par defaut...

Meu non j'imagine que tous le monde a le droit de décrire leur opinions sur telle ou telle ville, sauf que ce qui est intriguant est le fait que certaines personnes ne sont pas prêts a respecter l'opinion des autres uniquement parce qu'elles sont différentes des siens. Pour ce qui est de Montréal, y a des personnes aui adorent cette ville, d'autre non, mais le soucis est que certain ne voient les choses que via leur propres angles et considèrent ceux-ci comme des vérités absolues, en insistant les autres de voir les choses pareil comme eux, sinon, à défaut et selon eux, ces gens là ne désirent forcément pas connaitre la vérité sur cette ville, je trouve cela absurde comme façon de pensée tout simplement. La liberté d'expression ça te dit quelque chose?

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Je comprend pas pourquoi les gens qui sont nouveau au quebec ou les gens qui n'ont jamais ete a montreal n'aiment pas lorsequ'on leurs dis la verite sur cette ville delabreuse qui est Montreal...il faut apprendre a voir les choses avec une logique..la ville est d'une laideur incroyable digne des villes du tier monde et la plupart des immigrants issu des pays developpes tel que germany,sweden....etc retournent chez eux apres un sejour au quebec ,,ya que les gens qui ont fuient leurs pays qui restent car c un choix par defaut...

Attention , Montréal n est pas le Québec... il y a d autres villes et villages !

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Je comprend pas pourquoi les gens qui sont nouveau au quebec ou les gens qui n'ont jamais ete a montreal n'aiment pas lorsequ'on leurs dis la verite sur cette ville delabreuse qui est Montreal...il faut apprendre a voir les choses avec une logique..la ville est d'une laideur incroyable digne des villes du tier monde et la plupart des immigrants issu des pays developpes tel que germany,sweden....etc retournent chez eux apres un sejour au quebec ,,ya que les gens qui ont fuient leurs pays qui restent car c un choix par defaut...

Attention , Montréal n est pas le Québec... il y a d autres villes et villages !

ouai et certains sont bien plus laid avec des routes encore plus pourries que Montréal!! :Crylol:

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  • Habitués

Comme bouclette, je trouve certaines parties de Montréal laides, mais il y a aussi des quartiers charmants, des grands parcs, des activités culturelles, une énorme diversité, des restos, boutiques etc. C'est sécuritaire et on trouve des logements à un prix correct pour une grande ville. Il y a des transports en commun pas parfaits mais utilisables au quotidien. Etc, etc.

Les gens ont tout à fait le droit de ne pas aimer, mais affirmer que la vie à Montréal c'est pire que le tiers-monde (en autant que ça veuille dire quelque chose) ça me semble pousser un peu loin.

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La Presse

Selon Charles Lapointe, les failles dans « l’entretien des rues, boulevards et trottoirs sont autant de petites misères » que nous ne voyons plus, mais que les touristes remarquent, eux.

> « Est-il normal qu’il manque un arbre sur deux, rue Peel, dans les trous déjà prévus à cette fin ? Pourquoi ces trous servent-ils de poubelles à ciel ouvert plutôt qu’aux arbres ? Toronto, New York, Washington, Boston et d’autres villes accordent pourtant beaucoup de soin à leurs arbres. »

> « Pourquoi y a-t-il tant d’ampoules brûlées dans les lampadaires de la rue Sherbrooke ? »




> « Pourquoi ne remplace-t-on pas les tuiles de céramique tombées dans (le tunnel de) l’autoroute Ville-Marie et le tunnel Louis-Hippolyte-LaFontaine ? »

> « Est-il normal que le seul square non illuminé au temps des Fêtes ait été le Square Dorchester ? »

> « Que pouvons-nous faire collectivement pour améliorer l’industrie touristique de Montréal ? »

> « Il faut travailler individuellement à adoucir, aplanir et soulager les misères de la ville. »

> « Ce que nous sommes comme métropole, c’est vous tous qui l’inventez chaque jour, comme ce petit commerçant qui passe le balai avec énergie sur son bout de trottoir. »


La laideur de Montréal fait fuir les touristes

Laurier Cloutier
La Presse


Si la ville de Montréal veut encore attirer les touristes, «elle ne peut pas continuer à s’enlaidir». Délaissant la langue de bois, hier, le président-directeur général de Tourisme Montréal, Charles Lapointe, a dénoncé les «petites horreurs» de la ville, comme sa malpropreté, ses rues défoncées et les nombreux projets annoncés qui n’ont toujours pas bougé.

M. Lapointe était le conférencier au déjeuner-causerie de la chambre de commerce du Montréal métropolitain où on l’a écouté dans un silence religieux. À la fin, les centaines de convives lui ont fait une ovation. «Il a osé dire ce que plusieurs décideurs de l’industrie pensent», a commenté Michel Archambault, titulaire de la chaire de tourisme de l’UQAM.

Cependant, à la table d’honneur, le maire de Montréal, Gérald Tremblay, n’a pas du tout apprécié. Il a même quitté les lieux avant la fin du repas, malgré un rendez-vous convenu avec les médias. Et la présidente de la Chambre, Isabelle Hudon, n’a pas tellement aimé non plus.

«Je vais vous défriser un peu», avait pourtant annoncé M. Lapointe, juste avant son discours, à Gérald Tremblay et au maire de l’arrondissement de Ville-Marie, Benoît Labonté.

M. Tremblay ne s’attendait cependant pas du tout à ça. «Certains voient les problèmes, je préfère les solutions. Mon administration fait tout pour améliorer la ville, après le laisser-aller des dernières décennies. Il faut du travail d’équipe et la coopération des citoyens», a-t-il répliqué.

De son côté, Mme Hudon croit que «l’autoflagellation» doit cesser.

Selon M. Lapointe, la Ville, les entreprises et les citoyens doivent pousser la roue pour embellir Montréal, un petit geste à la fois. Mandaté pour faire la promotion de la ville auprès des touristes, le PDG de Tourisme Montréal a noté des progrès, mais il faut faire plus, selon lui.

Ce qui change tout, selon M. Lapointe, ce sont Internet et les blogues où sont étalées les faiblesses de Montréal, pendant que lui s’évertue à louer les qualités uniques de la ville. Après avoir lu les blogues durant un an, M. Lapointe a commandé une étude à des spécialistes, en novembre dernier, et a dû corriger le tir. Dans plus de 75 % des cas, les touristes s’informent sur la ville par Internet, selon Michel Archambault.

L’an dernier, Montréal a attiré 7,5 millions de touristes, dont deux millions de l’étranger. Ils ont dépensé 2,5 milliards et ont maintenu 70 000 emplois, a souligné Charles Lapointe. «Il reste cependant beaucoup de travail à faire. Le centre-ville de Montréal peut et doit devenir le plus beau d’Amérique du Nord», a-t-il dit.

Le PDG de Tourisme Montréal a par contre démontré par des exemples précis et des vidéos que Montréal ne va pas très bien et n’est pas très belle. «Montréal est même, encore trop souvent, laide. Les petites horreurs qu’on oublie sautent aux yeux des touristes. Simon Anholt, le gourou du branding des villes, a cru qu’il avait atterri au Kazakhstan quand il a vu la route entre l’aéroport et le centre-ville. Pourtant habitué aux rues sales, un touriste de New York a qualifié la rue Sainte-Catherine de la plus sale qu’il ait jamais vue.»

Montréal ne peut plus s’enlaidir, selon Charles Lapointe. «Les pouvoirs publics disent ne pas avoir d’argent, mais ça ne coûterait pas des millions pour planter des arbres dans les trous prévus à cette fin, pour remplacer les ampoules brûlées dans les lampadaires », pour vider les poubelles, repeindre les bancs publics, ramasser les mégots. Parfois, il faut être réaliste et cesser de s’autocongratuler», a-t-il dit.

Le PDG de Tourisme Montréal souhaite l’instauration d’une culture de la qualité. Il a noté l’investissement de 10 millions dans la propreté, l’an dernier, «mais il faut faire beaucoup plus».

«Il était possible, avant, de cacher les petits détails de la laideur montréalaise», croit-il. Mais ça ne l’est plus maintenant, à cause d’Internet : «Le touriste a maintenant le pouvoir de savoir et, même, celui de faire des dégâts», a lancé M. Lapointe.

Internet change la façon de faire la promotion de la ville, selon lui. Le développement touristique devient «une responsabilité collective qui nous interpelle individuellement».

Cette année, M. Lapointe souhaite des développements importants pour le Quartier des spectacles, le réaménagement du Vieux-Port, l’agrandissement du musée Pointe-à-Callière, la construction du centre de foires et l’aménagement du lien ferroviaire entre l’aéroport et le centre-ville.

De son côté, le chef de l’opposition officielle à l’hôtel de ville, Noushig Eloyan, a pris le relais du président de Tourisme Montréal en critiquant Gérald Tremblay. Mme Eloyan estime que le maire fait preuve de défaitisme en disant qu’il fait ce qu’il peut. «L’administration Tremblay-Zampino n’a encore jamais prouvé sa capacité à passer à l’étape des réalisations», a-t-elle déclaré dans un communiqué. Elle reproche aussi à son rival de manquer de leadership pour susciter des projets susceptibles d’améliorer l’image de la métropole.

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Montréal, ville laide

Avec son manque d’uniformité architecturale, son patrimoine pas toujours bien mis en valeur, le mauvais goût de certains commerçants et sa saleté tristement devenue légendaire, Montréal est une ville qui remet en question les notions d’esthétisme.

« Ces histoires de beauté ou de laideur, je trouve cela énervant à la fin, dit Dinu Bumbaru, directeur des politiques à Héritage Montréal. Je refuse de parler du concept de beauté quand il est question de Montréal. Montréal est une ville
bum
qui n’a certes pas le charme des grandes capitales impériales, mais c’est une ville fantastique. »

(…) À la fois classique et délinquante, sale et tranquille, harmonieuse et bigarrée, Montréal offre sa beauté à qui veut bien la voir.

[
]

Je me souviens assez précisément de mes premiers sentiments à l’égard de Montréal, c’était en février 1998. J’avais trouvé la ville sale, grise, déprimante. Cette ville me semblait illisible, anarchique, seulement structurée de tranchées autoroutières. Son tissu urbain effiloché, mité de terrains vagues convertis en parkings, les rues défoncées, la crasse, participaient au sentiment de cité en déshérence. L’indigence des commerces (ces horribles éclairages au néon transformant la moindre échoppe en froide annexe de la morgue), le manque de grâce des vitrines souvent bordéliques, tout respirait l’absence de volonté esthétique, de soin. Sans parler de ses immeubles à la dérive suintant la pauvreté, de ses mendiants omniprésents. Le quartier du Vieux-Montréal, un genre de décor de cinéma abandonné aux rues désertes, témoignait d’une ville qui avait été plus riche, plus dynamique en des temps reculés. Le centre-ville semblait le résultat d’un concours international d’architecture disgracieuse. Même la foule était à l’unisson de la ville, triste, mal habillée, crottée.

C’était il y a 7 ans. Depuis, deux choses ont changé. Premièrement, la ville a évolué, semble même s’être enrichie. Par exemple, la pression immobilière a fait reculer les terrains vagues en plein cœur de la ville et de nombreux immeubles à vocation commerciale (bureaux, ateliers) ont été restaurés en appartements. Le paysage commercial se transforme aussi, reflétant un mieux-être financier. Les petits propriétaires privés sont plus portés à l’embellissement de leur patrimoine, à la réfection des façades. Malgré cela, si vous débarquez pour la première fois à Montréal une grise journée de février, je suppose que vos sentiments ne seront guère différents de ceux que j’expose au paragraphe précédent. Dîtes-vous juste que c’est “moins pire” qu’il n’y a pas longtemps.

La seconde chose qui a changé, c’est mon regard. À force de visites au rythme de deux à trois fois par an, j’ai commencé à apprendre à lire la ville, à la décrypter. Car oui, Montréal est laide, et comme beaucoup de personnes laides, il faut apprendre à dépasser les apparences. Ce n’est pas une prostituée, c’est au contraire une brave fille qui ne se donne pas au premier venu, et qui cache ses charmes. Et Montréal est une ville cryptée pour l’étranger.

Oui, cryptée. Volontairement absconse. Quelques exemples plus ou moins triviaux :

  • La Gare centrale : vous pouvez passer devant sans la voir. Elle n’a pas les attributs classiques d’une gare. Enterrée sous un immeuble, ses entrées sont d’une rare discrétion et peuvent se confondre avec les entrées du building. Vous pouvez visiter tout le centre-ville et douter légitimement de l’existence d’une gare de voyageurs à Montréal.
  • La ville souterraine : cette appellation est très trompeuse, il s’agit en fait de l’agrégation de centres commerciaux, plus ou moins enterrés, interconnectés avec le réseau de métro. Si vous connaissez les 4 Temps, à la Défense, vous aurez une bonne idée de la “ville souterraine”. L’intérêt de chaque centre commercial est de garder le chaland captif, les couloirs de communication entre chaque centre sont souvent discrets (le meilleur moyen de les trouver est de suivre les flux de gens) et la signalétique presque absente. Et n’espérez pas trouver des plans de l’ensemble de ce labyrinthe, il n’y en a pas (ce qui illustre aussi le fait qu’il n’y a jamais eu de plan d’urbanisme global). Je ne suis même pas encore sûr de connaître cette “ville” dans toute son étendue. Et à l’image de la Gare, les entrées sont parfois cachées, comme dans des halls d’édifices de bureaux par exemple.
  • Les bus : signalés par de petites pancartes, les arrêts ne possèdent que rarement des abris les signalant visuellement. (Ce qui vous dissuade aussi d’utiliser le bus quand le blizzard souffle). À l’intérieur du bus, il n’y a pas de plan de la ligne. Et comme les vitres en saison d’hiver sont tellement crottées que vous ne voyez pas les noms des rues défiler, vous vous sentez un peu perdus.
  • L’architecture : des quartiers entiers, comme le Plateau, sont constitués d’un bâti très uniforme (les fameux “plex” avec escaliers extérieurs, 1900-1930). Résultat : rien de ressemble plus à une rue que sa voisine. Et d’un quartier à l’autre, les différences sont parfois tenues.
  • La géographie : à part le gros caillou du Mont-Royal, c’est une ville plate. À l’exception du centre-ville, vous manquez de repères. Il manque des points d’ancrage visuel comme le Stade olympique.
  • La signalétique : c’est une spécialité montréalaise, elle est à la fois pauvre, complexe, tout en étant innombrable. Il suffit de considérer les autorisations de stationnement, ardues et trop petites, pour comprendre le désarroi de l’automobiliste nouvellement arrivé en ville. À certains endroits, l’abondance de signes laisse pantois, la confusion est totale.
  • Une ville Janus : il y a deux villes dans la ville, deux réseaux d’artères irriguantes. Je pense au réseau des ruelles, elles ne figurent sur aucun plan, elles sont anonymes, ne sont pas dans les guides touristiques, et pourtant constituent une des parties les plus poétiques et attachantes de la ville. C’est à la fois un envers du décor et une ville-bis. Il faut apprendre à s’y immiscer, à s’y perdre.
  • Etc. (À compléter ultérieurement.)

Montréal me laisse “québécoit”. (En référence au livre puzzle de Régine Robin). C’est une ville qui demande un certain degré d’abandon pour se faire apprécier, ne serait-ce que laisser son cartésianisme de côté. C’est un patchwork difficile à circonscrire.

Si vous n’êtes pas séduits par un premier contact, insistez, cela en vaut la peine. Montréal demande un effort. Ce n’est pas une “beauté classique” et beaucoup de ses charmes sont de l’ordre de l’ineffable et du vivant : paysages sonores, odeurs, signes abscons, détails triviaux. Montréal s’adresse plus aux sens qu’à l’esprit.

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  • Habitués

On avait compris que vous n'aimiez pas Montréal, c'est votre droit et c'est vrai que toute la ville n'est pas "sua coche" en tout points.

Mais on a pas besoin d'un million de c/c chiant à lire pour nous en convaincre.

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  • Habitués

Par rapport à l’esthétisme, la ville n'est pas du tout mise en valeur de nuit, pas besoin de frais immense pour mettre en valeur les monuments. vraiment dommage.

Le pont Cartier éclairé comme il se doit de nuit, ainsi que d'autre batiments, donnerait déja une autre vision de la ville.

Venusta, meme si les articles datent un peu, je trouve ça + interessant de lire les avis de spécialistes du tourisme que les listes de courses "tiers monde" sur le metro ....

Modifié par SoFarSoGood
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  • Habitués

Par rapport à l’esthétisme, la ville n'est pas du tout mise en valeur de nuit, pas besoin de frais immense pour mettre en valeur les monuments. vraiment dommage.

Le pont Cartier éclairé comme il se doit de nuit, ainsi que d'autre batiments, donnerait déja une autre vision de la ville.

Venusta, meme si les articles datent un peu, je trouve ça + interessant de lire les avis de spécialistes du tourisme que les listes de courses "tiers monde" sur le metro ....

C'est peut-être mieux de pas voir ce qui se passe la nuit à Montréal. :ph34r2:

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Par rapport à l’esthétisme, la ville n'est pas du tout mise en valeur de nuit, pas besoin de frais immense pour mettre en valeur les monuments. vraiment dommage.

Le pont Cartier éclairé comme il se doit de nuit, ainsi que d'autre batiments, donnerait déja une autre vision de la ville.

Venusta, meme si les articles datent un peu, je trouve ça + interessant de lire les avis de spécialistes du tourisme que les listes de courses "tiers monde" sur le metro ....

C'est peut-être mieux de pas voir ce qui se passe la nuit à Montréal. :ph34r2:

Ne me dis pas qu'il y a des fusillades et des lances grenades :biggrin2:

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Par rapport à l’esthétisme, la ville n'est pas du tout mise en valeur de nuit, pas besoin de frais immense pour mettre en valeur les monuments. vraiment dommage.

Le pont Cartier éclairé comme il se doit de nuit, ainsi que d'autre batiments, donnerait déja une autre vision de la ville.

Venusta, meme si les articles datent un peu, je trouve ça + interessant de lire les avis de spécialistes du tourisme que les listes de courses "tiers monde" sur le metro ....

C'est peut-être mieux de pas voir ce qui se passe la nuit à Montréal. :ph34r2:

Ne me dis pas qu'il y a des fusillades et des lances grenades :biggrin2:

Je pense qu'il y a effectivement des bombardements quand on regarde les routes avec des trous béants. Hihi :santa:

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  • Habitués

Je n'habite pas Montréal. J'ai toujours vécue à côté et quand je veux un bain de foule (parfois j'en ai besoin) j'y vais ainsi que durant les festivals. Mes deux enfants y vivent. Et bien je n'ai jamais trouvé cette ville belle mis à part le charme du minuscule Vieux-Mtl. Ne serait-ce que l'état des routes (Verdun et Outremont, paraît que ce sont les pires !). Rien que ça c'est triste de voir autant de trous années après années et ça empire. Sans parler d'immeubles tagués, délabrés, les arrières-cours des blocs -Faut les voir- devant c'est tout beau mais derrière :crying: tous les derrières d'ailleurs (commerces) beaucoup trop laissés à l'abandon.

Bien dommage entre le Mtl des touristes et celui de la vie des gens = grand écart.

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  • Habitués

Et bien !!!!!!! :crying:

Montréal que j'aime, que j'adore, malgré ton âge, tes imperfections, tes perpétuelles rénovations, tes bouchons, et j'en passe.

Ils ne te connaissent pas comme je te connais. Ils ne te voient pas comme moi je te vois.

Une ville ouverte sur le monde, ou l'on peut manger des mets du monde entier, rencontrer des gens de partout, profiter de spectacle de musique classique dans un parc, ou de jazz, de rock, de musique du monde.

Des milliers de boutiques de tous les genres avec leurs odeurs, leurs décors, leur magie.

Le marché Jean Talon (tu me manquessssssssssss).

Les bibliothèques, les salles de spectacle, les cinémas avec plusieurs salles, les cafés, les terrasses qui acceuillent, dès la fonte des neiges, les gens sortant de l'hibernation.

C'est l'émerveilllement des feux d'artifices. C'est les balades sur le Mont-Royal ou dans le Parc Lafontaine. C'est la rue Ste-Catherine. C'est la rue Mont-Royal. C'est la rue St-Laurent.

C'est les journées d'été à faire du balconville, une bière à la main, assis sur une berçeuse.

C'est Ville St-Laurent, Ahuntsic, Hochelaga-Maisonneuve, St-Henri, Verdun, Pointe-aux-Trembles, etc. avec un décor différent, une dynamique différente, une faune multicolore.

C'est les épices, les produits importés de partout, les tissus, etc.

Mais c'est aussi, ma vie, mon premier baiser, ma première frite, sur les marches de l'escalier menant à notre appartement, avec le sac dégoulinant de vinaigre :smile:

C'est la "tag" barbecue :blush2:, la piscine du quartier, les balades à vélo, les cabanes dans les "shead".

C'est : http://youtu.be/Uei9vAkgNUk

Je vis à la campagne depuis 14 ans ... et Montréal me manque à chaque jour.

Je préfère voir les milliers de choses bien à Montréal, que de regarder ce qui ne va pas, ce qui est laid etc.

Quand tu a été élevé, comme moi sur du béton, tu es ravi de voir les grands changements apportés à la ville notamment les toits verts, les jardins communautaires etc.

Moi je vois une ville en pleine effervescence, qui se transforme de jour en jour, qui évolue.

Je vois la création. Je vois le renouveau. Je vois l'étincelle. La passion. Le mouvement.

Modifié par Lilideslacs
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Merci pour ce jolie message qui me conforte dans l'idée que je suis heureuse d'avoir emménagé à Montréal!J'adore aussi cette ville!! :bye:

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  • Habitués

Au début Montréal ne me plaisait guère de prime abord mais avec ces temps j apprécie ces nombreux charmes excepté ces nids de poule où des canard pourrai y trouver refuge :)... et grâce au pont champlain on peut faire un tas de blagues :D

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